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Karim Ouchikh
Président du SIEL,
Conseiller municipal et d’agglomération de Gonesse,
Conseiller régional Ile-de-France.
Pétition : Protégeons nos enfants de l’éducation sexuelle et affective imposée par Marlène Schiappa !
« L’éducation, c’est la famille qui la donne ; l’instruction, c’est l’État qui la doit.»
Victor Hugo
Marlène Schiappa a confirmé ces derniers jours la mise en place à la rentrée de plusieurs séances « d'éducation sexuelle et affective » par année scolaire.
Cette réforme gouvernementale est imposée sans aucune concertation : discutable sur la forme, cette initiative autoritaire est aussi contestable sur le fond.
Ce n’est pas à l’État de donner à nos enfants une « éducation à la vie sexuelle et affective » qui relève pour l’essentiel de la compétence naturelle des parents.
Même dispensées par des associations agréées, ces séances en milieu scolaire sont de nature à déstabiliser psychologiquement les jeunes élèves car elles reposent sur un programme d’enseignement dont on ignore tout des arrière-pensées idéologiques. En tout état de cause, ces séances ne peuvent se substituer à la liberté des parents d’offrir à leurs enfants l’éducation de leur choix, surtout sur des sujets aussi sensibles.
Elu et père de famille, mettant au-dessus de tout l’intérêt bien compris de nos enfants, j’invite solennellement la Secrétaire d’Etat à l’Égalité entre les femmes et les hommes à renoncer immédiatement à ce projet manifestement intrusif qui porte gravement atteinte aux droits et devoirs des parents à l’égard de leurs enfants.
Karim Ouchikh
Père de famille
Conseiller municipal de Gonesse
Conseiller régional Île-de-France
Gonesse doit être le laboratoire de l’assimilation républicaine réussie - Tribune municipale de Karim Ouchikh
La France souffre d’une crise existentielle inédite, une crise d’identité liée bien sûr à la perte des repères qui structuraient jusqu’à présent notre espace collectif (remise en cause du modèle familial traditionnel, dévaluation de l’autorité de l’enseignant, suppression du service national, démantèlement des services publics...), mais aussi à notre incapacité à définir notre modèle de société et donc à nous tourner vers l’avenir avec confiance.
L’amour de la patrie, la considération apportée à notre Histoire, la place réservée à la culture classique et le rayonnement de la langue française furent autant de leviers puissants qui contribuèrent jadis à l’unité de la Nation, en facilitant l’assimilation naturelle d’individus de toutes origines. Les travers de la mondialisation, le processus d’intégration européenne et l’émergence du multiculturalisme ont favorisé à coup sûr, ces dernières décennies, l’éclatement de notre identité nationale.
Il est urgent de ressouder les Français autour d’un projet collectif. Cette entreprise doit être menée d’abord au plan national mais doit s’articuler aussi localement à partir des initiatives de terrain. De mon point de vue, l’engagement citoyen des municipalités est fondamental.
Notre ville doit monter l’exemple. Riche d’une mosaïque de communautés ethniques diverses, forte d’une vitalité religieuse qui se conjugue avec la multiplicité des cultes qui se pratiquent sur notre territoire, Gonesse doit être un laboratoire de l’assimilation réussie de ses nombreuses communautés d’origine étrangère, en se dotant pour cela d’une politique offensive. Il ne s’agit plus d’accompagner leur expression en mettant sans discernement des moyens municipaux à leur disposition, - favorisant de la sorte mécaniquement un repli communautariste -, mais bien de rassembler les Gonessiens autour d’un projet collectif qui mettrait enfin les vertus civiques, les valeurs de la République, les attraits de notre culture classique et l’Histoire de la ville au service de cette ambition.
La ville de Gonesse ne doit pas agir seule : une démarche volontariste doit être initiée en ce sens auprès des services de l’Etat, le concours de la région et du département doit être sollicité, la communauté éducative de Gonesse, les services culturel, sportif et d’action sociale de la commune doivent être également mobilisés.
Voilà un beau projet pour Gonesse qui serait de nature à montrer, hors de nos frontières, le bon chemin à suivre pour enrayer le phénomène d’enfermement communautariste que l’on déplore trop souvent en France. Un projet qui rassemblerait toutes les forces vives de notre ville et qui aurait le soutien, à n’en pas douter, de toutes les composantes politiques de notre commune.
Karim Ouchikh
Conseiller municipal
Conseiller régional Île-de-France
(tribune mensuelle parue dans le journal municipal "Le Gonessien" de juin 2018)
Contrôle technique automobile : je demande au gouvernement d’ajourner sa réforme désastreuse (Vidéo)
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L’identité sera pour la droite le levier de l’alternance à Macron
Basilique de Saint-Denis : interrogé par Boulevard Voltaire, j’appelle le diocèse de Seine-Saint-Denis à déposer plainte et le Parquet à engager des poursuites contre les profanateurs.
Karim Ouchikh est président du SIEL (Souveraineté, Identités et Libertés) et conseiller régional Île-de-France. Il fait part, au micro de Boulevard Voltaire, de son indignation face aux événements qui se sont produits dans la basilique de Saint-Denis dimanche. Pour lui, il s’agit d’une double violation : d’un lieu de culte et aussi du haut lieu de la mémoire monarchique. Karim Ouchikh appelle les autorités, le diocèse et le parquet à engager des poursuites contre les responsables.