FACE AUX DÉFIS QUI NOUS ATTENDENT, POUR NE PAS LAISSER LA FRANCE SORTIR DÉFINITIVEMENT DE L'HISTOIRE

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Karim Ouchikh

Karim Ouchikh

Président du SIEL,
Conseiller municipal et d’agglomération de Gonesse,
Conseiller régional Ile-de-France.

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vendredi, 20 juillet 2018 19:35

Pétition : Protégeons nos enfants de l’éducation sexuelle et affective imposée par Marlène Schiappa !

Pétition : Protégeons nos enfants de l’éducation sexuelle et affective imposée par Marlène Schiappa !

« L’éducation, c’est la famille qui la donne ; l’instruction, c’est l’État qui la doit.»
Victor Hugo

Marlène Schiappa a confirmé ces derniers jours la mise en place à la rentrée de plusieurs séances « d'éducation sexuelle et affective » par année scolaire.

Cette réforme gouvernementale est imposée sans aucune concertation : discutable sur la forme, cette initiative autoritaire est aussi contestable sur le fond.

Ce n’est pas à l’État de donner à nos enfants une « éducation à la vie sexuelle et affective » qui relève pour l’essentiel de la compétence naturelle des parents.

Même dispensées par des associations agréées, ces séances en milieu scolaire sont de nature à déstabiliser psychologiquement les jeunes élèves car elles reposent sur un programme d’enseignement dont on ignore tout des arrière-pensées idéologiques. En tout état de cause, ces séances ne peuvent se substituer à la liberté des parents d’offrir à leurs enfants l’éducation de leur choix, surtout sur des sujets aussi sensibles.

Elu et père de famille, mettant au-dessus de tout l’intérêt bien compris de nos enfants, j’invite solennellement la Secrétaire d’Etat à l’Égalité entre les femmes et les hommes à renoncer immédiatement à ce projet manifestement intrusif qui porte gravement atteinte aux droits et devoirs des parents à l’égard de leurs enfants.

Karim Ouchikh
Père de famille
Conseiller municipal de Gonesse
Conseiller régional Île-de-France



Publié dans Communiqués
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lundi, 18 juin 2018 20:47

Gonesse doit être le laboratoire de l’assimilation républicaine réussie - Tribune municipale de Karim Ouchikh

Gonesse doit être le laboratoire de l’assimilation républicaine réussie - Tribune municipale de Karim Ouchikh

La France souffre d’une crise existentielle inédite, une crise d’identité liée bien sûr à la perte des repères qui structuraient jusqu’à présent notre espace collectif (remise en cause du modèle familial traditionnel, dévaluation de l’autorité de l’enseignant, suppression du service national, démantèlement des services publics...), mais aussi à notre incapacité à définir notre modèle de société et donc à nous tourner vers l’avenir avec confiance.

L’amour de la patrie, la considération apportée à notre Histoire, la place réservée à la culture classique et le rayonnement de la langue française furent autant de leviers puissants qui contribuèrent jadis à l’unité de la Nation, en facilitant l’assimilation naturelle d’individus de toutes origines. Les travers de la mondialisation, le processus d’intégration européenne et l’émergence du multiculturalisme ont favorisé à coup sûr, ces dernières décennies, l’éclatement de notre identité nationale.

Il est urgent de ressouder les Français autour d’un projet collectif. Cette entreprise doit être menée d’abord au plan national mais doit s’articuler aussi localement à partir des initiatives de terrain. De mon point de vue, l’engagement citoyen des municipalités est fondamental.

Notre ville doit monter l’exemple. Riche d’une mosaïque de communautés ethniques diverses, forte d’une vitalité religieuse qui se conjugue avec la multiplicité des cultes qui se pratiquent sur notre territoire, Gonesse doit être un laboratoire de l’assimilation réussie de ses nombreuses communautés d’origine étrangère, en se dotant pour cela d’une politique offensive. Il ne s’agit plus d’accompagner leur expression en mettant sans discernement des moyens municipaux à leur disposition, - favorisant de la sorte mécaniquement un repli communautariste -, mais bien de rassembler les Gonessiens autour d’un projet collectif qui mettrait enfin les vertus civiques, les valeurs de la République, les attraits de notre culture classique et l’Histoire de la ville au service de cette ambition.

La ville de Gonesse ne doit pas agir seule : une démarche volontariste doit être initiée en ce sens auprès des services de l’Etat, le concours de la région et du département doit être sollicité, la communauté éducative de Gonesse, les services culturel, sportif et d’action sociale de la commune doivent être également mobilisés.

Voilà un beau projet pour Gonesse qui serait de nature à montrer, hors de nos frontières, le bon chemin à suivre pour enrayer le phénomène d’enfermement communautariste que l’on déplore trop souvent en France. Un projet qui rassemblerait toutes les forces vives de notre ville et qui aurait le soutien, à n’en pas douter, de toutes les composantes politiques de notre commune.

Karim Ouchikh
Conseiller municipal
Conseiller régional Île-de-France
(tribune mensuelle parue dans le journal municipal "Le Gonessien" de juin 2018)

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jeudi, 17 mai 2018 18:55

Contrôle technique automobile : je demande au gouvernement d’ajourner sa réforme désastreuse (Vidéo)

Contrôle technique automobile : je demande au gouvernement d’ajourner sa réforme désastreuse (Vidéo)

Contrôle technique automobile : je demande au gouvernement d’ajourner sa réforme désastreuse (Vidéo)

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vendredi, 27 avril 2018 11:16

L’identité sera pour la droite le levier de l’alternance à Macron

L’identité sera pour la droite le levier de l’alternance à Macron
Karim Ouchikh, président du SIEL, vient de faire paraître une Tribune dans "Valeurs Actuelles" : 
“Alors que la gauche est durablement disqualifiée aux yeux des Français pour gouverner à nouveau le pays, la relève viendra à coup sûr de la droite de l’échiquier politique, parce que le sentiment patriotique y subsiste plus qu’ailleurs”, estime Karim Ouchikh, président du SIEL et conseiller régional Ile-de-France.
 
Je ne reconnais plus mon cher pays, menacé aujourd’hui de disparition. Des peuples entiers s’engouffrent sur notre territoire en toute impunité et s’y installent partout avec la complicité des pouvoirs publics, comme à Paris où les enclaves étrangères, africaines, turque, chinoise ou indienne, s’y multiplient depuis des années et s’y enracinent sans entraves ; des populations particulièrement décomplexées qui importent sur notre sol des conflits lointains et imposent, singulièrement avec l’islam, des modèles de civilisation anxiogènes qui prospèrent devant le vide moral, spirituel et culturel français... Cédant le pas à l’idéologie multiculturaliste et à l’imperium des industries américaines du divertissement, notre culture n’est plus que l’ombre d’elle-même et notre langue, jadis rayonnante, est désormais reléguée en seconde zone. Notre modèle de société est méthodiquement démantelé au fil de réformes qui sacrifient l’Etat providence, les services publics et la ruralité, sur l’autel de la modernité et de la compétitivité internationale. La grandeur de la France est à présent un vague souvenir qui s’efface inexorablement depuis que se confirme l’assujettissement de notre diplomatie et de notre outil militaire aux forces atlantistes. Que dire de la dignité humaine, de la famille, de la liberté d’éduquer, du respect de nos paysages et de la conservation de notre patrimoine historique, ces valeurs autrefois intangibles que l’on passe allégrement aujourd’hui par pertes et profits…
 
Un homme souffle activement sur les braises pour précipiter ce chaos : Emmanuel Macron, cette créature médiatique placée par le Système à la tête de l’Etat pour banaliser l’exception française et faire rentrer la France dans le rang de la mondialisation. L’habilité de l’homme, la puissance des forces qui l’entourent et sa détermination aussi bien à neutraliser les corps intermédiaires qu’à stériliser les oppositions politiques, conduiront, si rien n’est fait d’ici la fin du quinquennat, à lui laisser les clés de l’Elysée pendant neuf ans encore.
 
Rien ne serait plus terrible pour ceux qui demeurent sincèrement attachés à notre pays que de demeurer inactifs alors qu’un vent de révolte souffle puissamment partout sur notre territoire : la submersion migratoire, l’expansion de l’islam, la fronde des élus locaux, la misère des territoires déclassés, les fractures territoriales et culturelles, les angoisses de catégories socio-professionnelles de plus en plus nombreuses, accaparent l’actualité politique et apparaissent comme autant de leviers d’action pour proposer très vite à nos compatriotes une alternative politique crédible.
 
Qu’elle soit immigrationniste ou jacobine, la gauche manifeste son incapacité à se renouveler idéologiquement et peine à surmonter ses divisions surtout depuis la perte de sa composante sociale-démocrate, largement captée par Emmanuel Macron : elle s’en trouve durablement disqualifiée aux yeux des Français pour gouverner à nouveau le pays. Parce que le sentiment patriotique y subsiste plus qu’ailleurs, la relève viendra à coup sûr de la droite de l’échiquier politique : pas de cette droite molle, européiste, libérale et libertaire, partie naturellement grossir les rangs du parti présidentiel, mais de cette droite authentique qui éprouve un amour charnel pour la France et qui accorde depuis toujours une vertu certaine au temps (qui encourage la fidélité des êtres et façonne la continuité historique des peuples), aux limites (qui bornent les espaces et préservent les repères collectifs) et à la spiritualité (qui féconde les âmes et corrige les dérives humaines).
 
Dans cet espace considérable qui sépare LR et le FN, la vraie droite peut retisser les liens, aujourd’hui brisés, d’une confiance renouvelée avec les Français et refonder les bases d’une véritable alternance politique qui ferait la part belle moins aux partis qu’aux trois priorités existentielles suivantes, lesquelles relèvent au fond d’une même détermination à préserver intact l’être français :
 
- Renverser les flux migratoires qui mettent en péril les grands équilibres ethnico-culturels de notre peuple, en interdisant toutes formes d’immigration, en démantelant les dispositifs d’appel d’air et en organisant la remigration ;
- Instaurer un droit du peuple français à sa continuité historique, opposable à tous, qui s’appuierait sur des politiques publiques volontaristes, de l’enseignement scolaire aux médias audiovisuels, en passant par la redéfinition de notre modèle républicain (refondation de la laïcité, réhabilitation de notre héritage chrétien, mise sous tutelle de l’islam…) ;
- Bâtir une Europe nouvelle qui protègerait les peuples européens de l’emprise totalitaire de Davos, du Califat et des GAFA, en mettant les Nations et les Etats de notre continent à l’abri de la bureaucratie bruxelloise.
 
Fort de la cohérence, de la constance et de la solidité de mes engagements politiques, toujours soucieux de l’unité et de la prospérité des Français, notamment des plus vulnérables, je crois exprimer idéalement, avec le SIEL et d’autres esprits libres, cette droite populaire, identitaire et européenne. Comme beaucoup de nos compatriotes, j’avoue cependant ne trouver actuellement dans l’offre des partis de la droite française aucune réponse satisfaisante ; comme en témoigne du reste les récentes prises de positions de Laurent Wauquiez, de Marine Le Pen ou de Nicolas Dupont-Aignan qui se sont livrés ces dernières semaines à une surenchère infantile, - à coup de conférences de presse, de pétitions et autres propositions de référendum -, à seule fin d’élargir leurs parts de marché respectives, à l’occasion du vote de la loi Asile et Immigration ou de la polémique sur la limitation de vitesse à 80 kms/h sur le réseau routier secondaire… Tout cela en vérité n’est à la hauteur ni des défis de civilisation de ce temps, ni des aspirations de notre peuple au rassemblement sincère des forces de la droite. 
 
Les Français dont le cœur penche à droite attendent avant tout de leurs représentants politiques un langage de vérité : de LR qu’il revienne définitivement aux fondamentaux idéologiques du RPR, qu’il écarte les personnalités centristes qui menacent encore son unité et qu’il adopte une cohérence idéologique entre ses votes pratiqués à Paris, à Bruxelles et dans les exécutifs locaux ; du FN qu’il assume enfin sa ligne politique de droite, qu’il rompe avec le mode de fonctionnement autoritaire de sa direction nationale et qu’il acquière au plus vite une culture de partenariat ; de DLF, qu’il s’affranchisse courageusement des pesanteurs du politiquement correct, qu’il ne reproduise pas les travers centralisateurs du FN et qu’il rassemble réellement, au sein des Amoureux de la France, toutes les sensibilités de la droite, sans exclusive.
 
Considérant que la sauvegarde de l’être français constitue, au diapason des préoccupations fondamentales des Français, le ressort politique central qui doit désormais animer notre famille de pensée, je ne lésinerai sur aucun effort pour œuvrer, sur cette base idéologique, au rassemblement de la vraie droite, dans toutes ses composantes, de LR au FN, avec comme seul objectif l’intérêt supérieur de la France. Cultiver en somme les points de convergences plutôt que d’entretenir les motifs de division, chercher aujourd’hui à être en communion d’idées pour être demain en communion d’action, sans jamais oublier que les partis politiques, qui concourent malgré leurs insuffisances à l’expression du suffrage, doivent se réinventer et imaginer de nouvelles formes de collaboration démocratique avec tous les acteurs de la vie publique (fondations, médias, associations locales, mouvements divers…) pour séduire à nouveau le cœur de tous nos compatriotes…
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mercredi, 21 mars 2018 11:24

Basilique de Saint-Denis : interrogé par Boulevard Voltaire, j’appelle le diocèse de Seine-Saint-Denis à déposer plainte et le Parquet à engager des poursuites contre les profanateurs.

Basilique de Saint-Denis : interrogé par Boulevard Voltaire, j’appelle le diocèse de Seine-Saint-Denis à déposer plainte et le Parquet à engager des poursuites contre les profanateurs.

Karim Ouchikh est président du SIEL (Souveraineté, Identités et Libertés) et conseiller régional Île-de-France. Il fait part, au micro de Boulevard Voltaire, de son indignation face aux événements qui se sont produits dans la basilique de Saint-Denis dimanche. Pour lui, il s’agit d’une double violation : d’un lieu de culte et aussi du haut lieu de la mémoire monarchique. Karim Ouchikh appelle les autorités, le diocèse et le parquet à engager des poursuites contre les responsables.

Publié dans Tribunes
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