FACE AUX DÉFIS QUI NOUS ATTENDENT, POUR NE PAS LAISSER LA FRANCE SORTIR DÉFINITIVEMENT DE L'HISTOIRE

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vendredi, 20 septembre 2013 20:38

Université d'été 2013 : Discours de Marine Le Pen

Écrit par  SIEL
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Marseille, 15 septembre 2013


Mes chers compatriotes, de Marseille, de métropole, d'outre-mer et de l'étranger,

Je pense que nous pouvons être fiers de ces universités d'été.

Vos interventions, vos contributions, vos réflexions, à toutes et à tous, sont pour moi une matière utile. J'ai toujours besoin de ce terreau, le terreau fertile de vos idées, pour continuer à enrichir mon projet pour la France !

Merci à tous les intervenants ! Et bravo !

La réussite de ces universités, c'est un événement en soit, mais c'est aussi la poursuite d'une dynamique.

Comme vous, je la vois à l'œuvre depuis quelques années déjà, mais je la sens accélérer.

Nous avons continué en 2013, année pourtant sans élection, un très sérieux travail de fond.

Et nous avons connu depuis le début de l'année beaucoup de succès.

Je ne parle pas des sondages, qui montrent bien entendu une adhésion croissante à nos idées, et nous laissent espérer de grandes réussites aux élections à venir. Toujours nous progressons, toujours nous montons ! Bien sûr nous nous satisfaisons des bons chiffres que nous prenons comme des encouragements.

Mais je veux surtout parler de nos réussites concrètes, celles qui ont jalonné les derniers mois et qui ont renforcé la place du Front National.

Je pense bien entendu aux élections partielles.

L'élection de l'Oise d'abord, que notre candidate Florence Italiani a failli remporter ! Cette élection a fait date parce qu'elle a montré que nous avons maintenant des capacités de progression et de rassemblement qui surpassent toutes les prévisions !

Et je pense aussi à l'élection de Villeneuve-sur-Lot où Etienne Bousquet Cassagne a plus que fait trembler l'UMPS ! Alors que tous les partis du système s'étaient ligués contre sa candidature, il a lui aussi fait exploser les compteurs.

Ces deux partielles sont une extraordinaire motivation pour nous, le camp des patriotes !

Elles montrent que le soi-disant front républicain est mort, que la funeste bipolarisation de la vie politique est enterrée et surtout, que les électeurs, de plus en plus, adhèrent à nos idées, que le vote Front National, moins encore que les autres, n'est un vote protestataire, mais, au contraire, qu'il est un vote positif, d'adhésion, assumé, plein d'espoir !

Et notre succès, en cette année 2013, peut-être le plus grand, c'est d'avoir approfondie notre présence dans tous les débats politiques, dans les débats entre Français, d'être incontournable puisque, vous le voyez bien : quel que soit le sujet abordé, nous sommes au centre des discussions.

A tel point que le Parti Socialiste, toujours bien inspiré par Rantanplan Harlem Désir, a choisi de consacrer son université d'été, non pas au chômage, non pas à la croissance, encore moins à chercher des solutions pour améliorer la vie des Français, mais au Front National !

Voilà le Parti Socialiste qui veut se lancer dans la « déconstruction » de notre programme ! Mais c'est bien la preuve, mes chers amis, que notre programme est au cœur de toutes leurs préoccupations ! Qu'ils viennent, nous les attendons avec gourmandise !

Et l'UMP aujourd'hui comme hier, par la bouche cette fois de François Fillon, parle de nous, parle de nous sans relâche. Oh, elle parle aussi beaucoup d'elle l'UMP, ça on ne peut pas lui enlever. Elle passe même son temps à se regarder le nombril.

A l'UMP, on se regarde aussi beaucoup les uns les autres, en chiens de faïence ! Mais à l'UMP, la vraie préoccupation essentielle, c'est le FN ! C'est notre progression ! Et c'est l'adhésion croissante des Français à nos idées !

Oui, mes chers amis, l'obsession qu'ils ont pour nous est un nouveau point commun entre le PS et l'UMP, un énième point commun et c'est un aveu de taille de leur part. L'aveu que la seule chose qui les inquiète n'est pas l'aggravation de la situation personnelle de chaque Français, mais la défense de leurs intérêts électoraux et politiciens.

Ça, pour sauver leurs postes, leurs fauteuils, leurs mandats, ça cogite, ça blablate, ça se réunit. Les Français eux... attendront !

Alors si nous sommes aujourd'hui si hauts,

si nous sommes aujourd'hui aussi présents dans le cœur et l'esprit des Français,

si nous sommes de plus en plus capables de rassembler les patriotes et représentons objectivement la seule force politique porteuse d'espoir,

si tous les regards convergent vers nous,

si nos anciens, qui ont une longue expérience de la vie politique, sont en train de nous rejoindre en masse, et qu'ils comprennent où est la sincérité et où se cachent les mensonges, ce n'est pas le fruit du hasard.

J'entends parfois dans la bouche de certains commentateurs partisans, ces petites phrases, ces petites analyses de comptoir, presqu'aussi méprisantes qu'indigentes, qui consistent à conclure par paresse intellectuelle que le Front National ne progresse que parce que la situation de la France se détériore.

Ces réflexions (qui leur évitent de se remettre en cause) sont aussi la conséquence de la peur du système pour lui même.

Ce système qui sent bien qu'il est à bout de souffle, en bout de course ; il ne pense plus, il rabâche, il n'argumente plus, il radote et fini par renvoyer sa véritable image comme le célèbre portrait de Dorian Gray- sclérosé, rabougri, desséché.

Face à eux, nous représentons la vie, l'énergie, l'imagination, l'espérance, une nouvelle jeunesse pour la France.

Et chacun s'accorde à constater que nous menons une action de grande ampleur, pensée, sérieuse, méthodique, et que nous gagnons en efficacité.

Notre stratégie est payante. Elle nous fait entendre et comprendre, elle nous permet de rassembler un nombre croissant de Français. Et comme nous devons aller plus loin, comme nous devons connaître davantage de succès électoraux, comme nous avons de très hautes ambitions pour les scrutins de 2014, et les suivants, nous devons poursuivre et intensifier notre stratégie

Cette stratégie, qu'elle est-elle ?

Notre stratégie, c'est d'abord la mise en action d'un principe très simple : toujours privilégier les intérêts de la France et du peuple français. A la différence de beaucoup d'autres, nous ne nous inféodons à personne. Nous sommes indépendants, et de cette indépendance, nous tirons notre discours de vérité ; nous sommes toujours ceux qui cherchons ce qui est bon pour la France et les Français.

C'est pour cela que nous ne sommes affiliés à aucun camp : ni la droite, ni la gauche, toutes deux en échec parce que partisanes. Notre seul camp, c'est celui de la France !

Notre stratégie, c'est aussi de parler de tous les sujets, et de faire des propositions sur tous les sujets. Aller sur tous les fronts. Il n'y a plus un domaine du débat public où nous ne soyons présents.

Et beaucoup dont nous sommes les seuls à parler, imposant le débat, sans tabou : l'Europe, l'euro, la mondialisation, l'immigration.

Notre stratégie, c'est aussi d'aller partout sur le territoire, à la rencontre de tous les Français, quels qu'ils soient, d'où qu'ils viennent. Pour les municipales, nous voulons des listes partout en France, et je vous annonce qu'à cette date 623 têtes de listes ont déjà été investies !

Vous savez aussi que j'ai entamé début 2013 un tour de France des oubliés, au plus près des réalités des Français, dans toute la France, de toutes les conditions sociales, il m'a permis de constater à quel point dans nos campagnes, dans nos lointaines banlieues, dans tous ces coins de France méprisés de tous nous sommes attendus, nous sommes espérés !

J'achèverai bientôt ce tour de France à Brachay, petit village où je me suis déjà rendue pendant la présidentielle, village symbole de l'oubli dans lequel des pans entiers du territoire se trouvent.

Et notre stratégie enfin, ne l'oublions pas, parce que c'est aussi le cœur de nos ambitions, c'est une volonté farouche de rassembler les Français.

Droite et gauche divisent, fragmentent la société. Par leurs mensonges, par leurs échecs, par leurs tactiques permanentes de communication et de diversion. Nous sommes à l'inverse les garants de l'unité nationale, nous luttons contre les ferments de la division.

Parce que nous n'avons qu'un seul crédo : unis les Français sont invincibles.

Je crois profondément à cette idée : je crois que les Français peuvent tout quand ils ont confiance en eux, et qu'ils se sentent profondément unis, en la France.

Mais je sais aussi, malheureusement, l'état actuel de désespérance de la société française.

Je sais que depuis l'élection de François Hollande, la déception face à la gauche ressemble étrangement à la déception éprouvée face à la droite auparavant.

Je sais le dégoût qu'inspire aujourd'hui la classe politique, inconsistante et inconséquente, à la plupart des Français.

Je sais qu'ils sont atterrés devant ce concours du pire auxquels se livrent UMP et PS, Nicolas Sarkozy puis François Hollande. Je les comprends.

Je sais les ravages de l'insécurité. Si forte ici à Marseille qu'on peut parler de parties du territoire national désormais hors de la République, hors de l'Etat de droit.

Je sais le retour aux féodalités, à la barbarie, et je sais que chacun en souffre, parfois dans sa chair.

Vous en savez quelque chose à Marseille. Les règlements de compte ne sont que la partie la plus voyante d'une insécurité quotidienne et les ministres ne viennent que pour la photo.

Monsieur Valls réunit les élus qui, depuis quarante ans, montrent leur incompétence dans le cadre d'un « pacte », comme le terme est bien choisi ! Il n'en oublie aucun, y compris ceux mis en examen ou condamné à de la prison ferme.

On finira même par être flatté d'avoir été écarté par Monsieur Valls de cette énième pitrerie car, bien évidemment, il a refusé de convier le Front National qui ne représente, il est vrai, qu'un ¼ de la population !

Monsieur Valls craignait d'entendre Stéphane Ravier exposer les solutions que les Français attendent.

Il n'y a pas d'exception marseillaise. Il n'y a qu'une préfiguration marseillaise. Il suffit de lire les faits divers. La gangrène criminelle s'étend peu à peu à toute la France. Aujourd'hui, même les campagnes et les bourgs ruraux ne sont plus épargnés.

Et n'en déplaise à Monsieur VALLS, les chiffres parlent même s'il cherche à les faire taire et la violence s'apparente de plus en plus à un terrorisme des rues dont le but est, certes, de voler ou de tuer mais aussi de terroriser la population avant de la soumettre.

Je mesure plus que jamais à quel point la France est déstabilisée.

Je sais à quel point la France est aujourd'hui déstabilisée, dans ses rapports humains, profondément dégradés, je viens de parler de l'insécurité, je pourrais aussi parler de l'immigration, du communautarisme, de l'affaissement de l'identité française, bref de tous ces maux qui ruinent notre capacité collective à la fraternité et à l'unité.

La France est déstabilisée dans ses valeurs profondes que les politiques de droite comme de gauche remettent en cause.

Déstabilisée dans le rapport au travail, aujourd'hui souvent une souffrance, dans le chômage, la précarité des salariés (la part des embauches en CDD s'est élevée à près de 82 % au 3ème trimestre 2012), le sentiment de ne plus récolter le juste salaire devant les profits exorbitants des grandes sociétés, devant les gains sans limite de la finance internationale, de la spéculation, de la banque.

Destabilisée car terre sans usines qu'on voudrait sans avenir !

La France est déstabilisée dans tout ce qui fait sa noblesse et sa grandeur.

Aujourd'hui, la France est rabaissée, sans cesse.

La France ne peut plus rien.

La France n'est plus rien.

On ne peut plus rien faire sans penser « Etats-Unis » ou « Europe ». Politique étrangère, souveraineté économique, culture, éducation, modèle social, plus rien de ce qui était autrefois une part constitutive de la grandeur française ne semble pouvoir exister aux yeux d'élites ou pour l'ailleurs les yeux de Chimène.

Je pourrais vous parler de tout cela pendant des heures tant cette petite boutique des horreurs politiques m'indigne.

Mais je ne le ferai pas.

Je ne suis pas là pour me lamenter avec vous sur la bassesse de ceux qui nous gouvernent depuis 30 ans. Je ne suis pas là pour faire des constats, continuer de regarder, de déplorer bien sûr, la nuit qui tombe sur la France.

Non, je veux vous dire aujourd'hui ce qu'il est possible de faire.

Je ne supporte plus comme vous le discours sur le « ce n'est pas possible ». Je ne veux pas que vous désespériez, et je veux porter un espoir.

Je sais que la France a besoin de nous. Je sais que la France compte sur nous, pour que nous puissions bientôt, au pouvoir, la remettre d'aplomb. Alors je veux dire aujourd'hui, par votre intermédiaire, à la France, quelle est ma perspective française.

Les 4 grands axes de la perspective française

Une France libre

Il faut d'abord à la France retrouver sa liberté. Sa liberté en tant qu'Etat, sa liberté en tant que Nation.

Une France libre, c'est une France souveraine et indépendante!

Deux notions inextricablement liées : de l'une, la souveraineté, dépend la réalité politique -pour ne pas dire métaphysique- de notre pays, de l'autre, l'indépendance, dépend sa grandeur.

C'est dans les choix de politique étrangère que s'exprime l'indépendance d'un pays. Cela ne signifie pas avoir en toute circonstance un avis contraire et opposé à celui de nos voisins ou alliés, mais cela signifie que l'on doit être capable d'avoir un avis différent.

La France ayant ses propres intérêts à défendre, elle ne peut et ne doit définir sa politique étrangère qu'en fonction d'eux.

Cette diplomatie forte et indépendante –et devrais-je dire forte CAR indépendante !- est celle qui a caractérisé la voix de la France dans le monde pendant des décennies, et qui a fait de notre pays un modèle pour les peuples qui aspiraient à retrouver le chemin d'une souveraineté nationale !

Oui, je le crois, il y a quelque chose de français dans l'attitude de l'Inde, de la Chine, de la Russie, du Brésil, de l'Argentine ou encore du Vénézuela, à travers cette capacité à dire « non » aux puissants quand leurs intérêts sont en jeu.

Refus de l'atlantisme, volonté d'être une puissance d'équilibre, nécessité de l'existence d'un monde multipolaire. Il existait jusqu'à peu bon gré, mal gré, une certaine constance dans la diplomatie française. Il n'en est plus rien.

Elle fut brisée d'abord, par Nicolas Sarkozy : alignement systématique de la France sur les Etats-Unis, réintégration du commandement intégré de l'OTAN, réorganisation de nos implantations militaires à l'étranger loin des zones de notre influence naturelle, de l'Afrique vers le Moyen-Orient.

Affaiblissement impardonnable de nos armées et réduction de leur format. En 2011, la France se rendait complice de l'assassinat d'un dirigeant étranger et plongeait la Libye dans un chaos islamiste dont elle ne s'est jamais relevée.

Pour la première fois depuis longtemps, un président de la République déshonorait la France à l'international. Nous nous rassurions alors comme nous pouvions, Sarkozy ne devait être qu'une « parenthèse » dans l'histoire de France.

Hélas encore, nous nous trompions.

La France aujourd'hui, ridiculisée comme jamais par des dirigeants incompétents, incohérents et nuisibles, récidive en Syrie.

Qui aurait deviné, que sous ses airs placides de modeste président du conseil général de Corrèze, François Hollande cachait un belliciste aussi zélé ? Plus soumis encore à Obama que Tony Blair en son temps à Georges W.Bush.

Cette soumission est telle que l'on devine même chez les Américains une forme de gêne, et chez certains Anglais une évidence de jalousie, semblable à celle de l'épouse légitime envers la maîtresse...

Plus inquiétante encore est notre soumission à des pays qui n'ont avec nous aucun lien historique ni culturel, seulement des liens d'argent sonnant et trébuchant et dont l'ensemble de la politique internationale vise à armer le fascisme vert, je veux parler de l'Arabie Saoudite et du Qatar.

Ces deux pays, arrière-garde de tous les mouvements jihaddistes internationaux, alimentent, à force d'armes et d'argent, le terrorisme et la guerre non seulement en Syrie, mais aussi au Sahel, en Afghanistan ou bien en Libye. La France, maitresse des USA, devenue catin d'émirs bedonnants...

Très clairement, je romprai avec cette diplomatie du renoncement et de la servitude !

Je redonnerai sa voix à la France, son rôle spécifique dans le monde !

Toute mon action portera au service de ses intérêts et de ses intérêts seuls.

Je renouerai des partenariats privilégiés avec toutes les zones d'influence du monde et je ne permettrai à aucun pays de décider à la place de la France qui est fréquentable et qui ne l'est pas.

Une diplomatie forte suppose également un outil militaire et de renseignement digne de ce nom. Une armée pleinement autonome, sans carence capacitaire, dotée des moyens matériels et humains nécessaires.

Je reconstituerai un arsenal militaire à la hauteur des ambitions que je nourris pour la France et je graverai dans le marbre de notre Constitution cette limite minimale de 2% du PIB pour notre budget militaire !

N'oublions jamais : l'industrie de défense ce sont des centaines de milliers d'emplois et l'un des plus puissants moteurs de la recherche et du progrès technologique ; il s'agit d'un investissement d'avenir par excellence !

La politique d'indépendance que je porte a eu ses modèles, et ses antécédents ont souvent couvert d'honneur et de gloire l'histoire notre pays.

Et la vérité nous oblige à nous souvenir qu'il fut un temps pas si lointain où la France se devait seulement d'être française, ni américaine, ni soviétique. Libre de ses choix politiques, maitresse de son destin. Un temps où notre pays était armé moralement, politiquement, économiquement et bien sûr militairement.

Il fut un temps pas si lointain où, aussi profondes que fussent ses plaies, la France était souveraine. Des Institutions fortes, une monnaie, des frontières, une armée gagnant en puissance. La France avait tous les attributs de la souveraineté. Elle pouvait traduire sa volonté politique en actions concrètes, toujours au service de ses intérêts.

Alors, ne venez pas me dire que ça n'est pas possible !

Vous l'avez compris, nous avons donc le double devoir impérieux de récupérer et notre indépendance et notre souveraineté ! Ce qu'assurément je ferai, à l'instant même où le peuple français m'aura donné sa confiance!

La souveraineté n'est pas un artifice de communication, un gadget ou un slogan électoral. C'est LA donnée fondamentale de tout pouvoir politique, de tout pouvoir qui prétend en être un. Elle n'est surtout pas dépassée, elle est l'instrument du futur, du rebond et de la liberté !

Regagner notre souveraineté c'est retrouver notre liberté législative quand l'essentiel de nos lois sont décidées à Bruxelles et imposées aux Français à leur insu ou contre leur gré.

c'est retrouver notre liberté budgétaire : la dernière des prérogatives qu'il restait aux parlementaires, qu'ils ont eux-mêmes transférée à la Commission européenne, pour faire mine aujourd'hui de batailler entre eux sur un budget dont ils n'ont plus la maitrise.

c'est retrouver notre liberté monétaire pour qu'enfin la France ait une monnaie adaptée à son économie, et qu'elle retrouve la possibilité de financer sa dette aujourd'hui laissée à des marchés financiers prédateurs ;

c'est retrouver des frontières -enfin !-frontières économiques pour mettre en œuvre un protectionnisme intelligent, ainsi que le font l'immense majorité des pays du globe, frontières migratoires pour contrôler les flux humains et lutter contre les trafics et les réseaux criminels Tout cela mes amis, suppose la remise en cause sans délai de l'Union Européenne.

Et parce que je crois en la démocratie, je me tournerai vers les Français par référendum pour leur demander leur avis sur notre appartenance à l'Union européenne !

Et sans délai, je ferai retirer les drapeaux européens, aujourd'hui symbole de soumission, de nos édifices publics et j'y mettrai partout des drapeaux nationaux !

Ainsi, je ne parle pas de l'Europe pour le plaisir de parler de l'Europe. Mais parce qu'il faut que les Français soient plus nombreux à comprendre qu'on ne peut rien faire sans défaire cette Union Européenne.

La souveraineté c'est aussi la reconnaissance d'un souverain, au-dessus duquel rien ni personne ne porte. En France ce souverain, c'est le peuple !

Or l'Histoire a montré que son autorité n'était pas absolue, quand de serviles parlementaires se sont autorisés à bafouer sa volonté, commettant une faute si lourde qu'ils n'en paieront probablement jamais le prix.

En adoptant en 2008 un Traité européen contraire à la volonté populaire librement exprimée moins de trois ans plus tôt, ces parlementaires se sont rebellés contre leur souverain légitime!

Ce précédent est le coup le plus rude jamais porté à la Démocratie depuis la Seconde Guerre mondiale.

En conséquence de cette trahison, je retirerai au Parlement son pouvoir constituant, qui sera désormais l'apanage exclusif du peuple. Aucun texte fondamental, ni aucun Traité européen ne pourra plus passer sans l'accord du peuple souverain.

Je mettrai par ailleurs en place un véritable référendum d'initiative populaire, pour que les Français, par eux-mêmes, se saisissent, s'expriment et tranchent les questions de leur choix.

Mes amis, d'une certaine manière notre tâche est autrement plus ardue que les épreuves du passé.

Nous combattons un ennemi que nous ne voyons pas et qui pourtant chaque jour remporte de nouvelles victoires.

Le projet est connu, mais ses auteurs se cachent : détruire la France, son identité et son pouvoir, pour lui substituer une entité supranationale et illégitime, au service exclusif du Marché et des puissances d'argent.

Nous évoluons dans un monde pernicieux, dominé par le mensonge, par la communication où le pouvoir, subrepticement, est passé des mains du peuple à celles d'individus non-élus. Des gens parfaitement étrangers au destin de la France et qui ont pu compter sur l'extraordinaire servitude d'une élite française indifférente au sort de la Patrie.

Nous nous battons contre des forces aux capacités redoutables, mais qui n'ont cependant pas encore mesuré la puissance intrinsèque du peuple français, quand celui-ci reprend la conscience de lui-même et de son unité !

Une France sûre et unie

Une France libre à l'extérieur ne peut être qu'une France sûre à l'intérieur.

Car la première des libertés individuelles est la sûreté, la liberté d'aller et de venir. Et il n'y a aucune fatalité à ce que nous vivions dans une société de plus en plus conflictuelle, de plus en plus barbare, de plus en plus anxiogène. La France doit redevenir sûre parce qu'il en va de notre cohésion nationale, de la sécurité des plus vulnérables et de notre prospérité !

Je veux que tous les Français et aussi, je le dis avec force, toutes les Françaises puissent circuler librement, en toute sécurité et partout sur notre territoire national, dans tous les quartiers de nos villes, à toute heure du jour et même de la nuit.

Assez de ces zones où le seul droit est celui des délinquants et des trafiquants

Assez de cette extension du domaine de l'insécurité par des bandes organisées de cambrioleurs itinérants !

Assez de ces rodomontades ministérielles qui n'arrivent même plus à dissimuler le laxisme d'État, hier comme aujourd'hui !

Je veux en finir avec la politique de l'excuse.

Je veux en finir avec la pseudo-pédagogie de Madame Taubira, ou avant elle de Madame Dati, et de tous leurs alliés en bien-pensance, qui fournissent les rangs de l'UMPS.

La sanction doit être appliquée dès la première transgression de la loi, dès le premier délit, même le plus petit.

La sanction doit toujours être appliquée, et vite, surtout pour les mineurs. Il faut bannir toute impression d'impunité.

Parce que la sanction est aussi éducation. Sans sanction, aucune éduction n'est possible.

J'ose le dire : la sanction, la sanction réelle, la sanction appliquée est la meilleure des dissuasions, la meilleure des préventions.

J'ose aussi rappeler à Madame Taubira une évidence claire : au moins pendant le temps de l'incarcération, la société est protégée de la récidive.

Et parce que la sanction, c'est la justice que l'on rend à la victime. N'oublions jamais la victime. Pensons d'abord à elle ! Et ensuite seulement au délinquant, ou au criminel.

D'où vient cette insécurité grandissante ?

De ce laxisme d'Etat avec lequel je romprai. Mais aussi pourquoi le nier de l'immigration, de l'immigration massive, de l'immigration incontrôlée, de l'immigration favorisée.

200 000 entrées légales chaque année depuis 10 ans, et combien de clandestins ?

Je le dis et ne fais que dire une évidence juridique : chaque clandestin est un délinquant. Dans un État de droit, être sans papier est un délit.

Or, c'est aujourd'hui un délit sans peine et même, disons-le, un délit rémunérateur et quasiment récompensé.

Aide sociale, logement d'urgence social, scolarisation gratuite, AME, autant de pompes aspirantes qui finissent par rendre la situation hors contrôle et la situation du délinquant plus appréciable que celle des honnêtes gens.

En nous privant avec Schengen du contrôle de nos frontières, l'Union européenne nous a privé aussi de notre capacité à assurer notre sécurité.

Et, à partir du 1er janvier prochain, ce sera encore pire.

Les Roms seront chez eux en France avec l'ouverture totale des frontières avec la Roumanie et la Bulgarie. Ils deviendront inexpulsables. Ces pompes aspirantes marcheront alors à plein régime avec des conséquences inédites.

Les Français doivent exiger l'abrogation de Schengen et ne pas accepter de plier devant les apôtres du laisser-aller, du laisser-faire, du laisser-venir.

Quant au droit d'asile, il est aujourd'hui totalement dévoyé, devenu une vulgaire filière nouvelle d'immigration clandestine, ayant subi une hause de 74 % dans les 5 dernières années.

Je demande d'ailleurs l'abrogation immédiate de cette loi qui oblige les préfets à loger, pendant le temps d'instruction de leur dossier, soit en moyenne 18 mois !, les étrangers en attente d'un éventuel statut de réfugiés politiques et ce avant les citoyens français.

Je demande que les prestations familiales soient réservées aux Français, quelle que soit leur religion ou leur absence de religion, quelles que soient leurs origines ethniques ou la couleur de leur peau, mais aux seuls Français, aux seuls qui ont la nationalité française !

Je demande que les emplois, en ces temps de chômage, soit accordés en priorité aux Français. Et ma conception est la même pour les logements sociaux, au nom d'une saine justice.

Je demande que les Français ne soient pas obligés d'abonder au train de vie des criminels et des récidivistes d'habitudes. Il faut dont leur supprimer les aides sociales.

A fortiori quand le délire fiscal qui a fait créer en deux ans à Nicolas Sarkozy et François Hollande 84 taxes nouvelles- près de 30 milliards d'alourdissement fiscal chacun- payées par des Français aujourd'hui sur la paille.

Je demande que les travailleurs français soient protégés contre toutes les concurrences déloyales à commencer par celles dont ils sont victimes sur le territoire national.

Je demande enfin une politique de prévention qui repose sur les fondements mêmes de la République.

C'est bien beau d'afficher une charte de la laïcité dans toutes les écoles de France. Mais ce simple geste est déjà l'aveu d'un échec.

Plus d'un siècle après la loi de 1905, il faut écrire noir sur blanc des principes qui étaient il y a encore 20 ans des évidences.

Quelle force aura cette charte alors que la Cour de Cassation, en vertu des directives européennes, à condamné la crèche Baby Loup qui avait licencié une salariée qui portait le voile alors que l'on n'a même pas été capable de protéger le personnel de cette crèche qui, sous les menaces de représailles, a du déménager !

Et puis, le texte de monsieur Peillon ne prend pas en compte la réalité de l'histoire de France, la réalité de notre culture. Pour comprendre la nation française, la République française, il faut connaître et admettre ses fondements chrétiens.

N'en déplaise à certains.

D'ailleurs, aucun problème concret n'y est abordé, ni la nourriture hallal dans les cantines scolaires, ni le voile à l'université, ni la séparation des sexes dans les piscines.

Cette opération de com est encore un aveu que le système se complait dans la politique de l'affichage.

Cette « charte pour rien » ne peut mettre fin à ce multiculturalisme qui fragmente la population de la France selon la religion et les origines.

La Grande-Bretagne, les Pays-Bas, l'Allemagne et même les Etats-Unis constatent l'échec du multiculturalisme et de la discrimination dite positive.

En France, la droite archaïque et la gauche obsolète n'ont encore rien appris, rien compris. L'UMP et les centristes se sont empressés d'apporter leur soutien au socialiste Peillon, espérant benoitement qu'un bout de papier punaisé dans un préau puisse régler les problèmes qu'ils ont créés.

Voilà quarante ans, de Valéry Giscard d'Estaing avec son regroupement familial à François Hollande avec ses naturalisations pour tous, droite et gauche encouragent cette immigration massive, pour le plus grand plaisir du MEDEF et des grands patrons voraces.

Et bien ce n'est pas l'avenir que je veux pour la France !

L'assimiliation à la nation française est indispensable et elle ne se fera qu'en arrêtant l'immigration légale et clandestine, en rappelant des règles claires et fermes et en redonnant à chacun la fierté d'être français!

Dans le même temps, ils démantèlent l'Ecole de la République, creuset culturel, outil de l'assimilation de tous les Français dans un seul espace public national. Là non plus il n'y a aucune fatalité.

Je veux une Ecole qui transmette les savoirs.

Je veux une Ecole qui transmette notre histoire.

Je veux une Ecole qui apprenne le respect, à commencer par celui des enseignants.

Je veux une Ecole qui s'accroche au bon sens et qui tourne le dos aux dingueries pédagogistes.

Une école de la tranquillité, de la sécurité, de la sérénité.

Je veux en un mot le redressement de l'Ecole de la République.

Je sais que nos amis du Collectif Racine, regroupement d'enseignants, de professeurs, amoureux de l'école et de la France, s'y emploient avec passion et rigueur. Qu'ils aient tous nos encouragements, et vos applaudissements !

La France est une et indivisible. C'est cette France que j'aime. C'est cette France que nous aimons. Cette France où nous sommes tous égaux dans l'espace public, où chacun d'entre nous est libre dans la sphère privée, où peut alors régner une harmonie fraternelle.

C'est cette France unie que je défends.

Cette France qui mettra fin aux haines et aux divisions, cette France qui fera passer le rouleau compresseur républicain et qui bannira le communautarisme.

Cette France rassemblée qui ne reconnaîtra qu'une seule communauté, la communauté nationale !

Cette France qui n'aura pas peur de s'aimer et de s'afficher.

Cette France de la fraternité entre les Français, où toutes et tous ne seront que Français, et rien que Français !

Une France prospère

Ma perspective française, c'est cette France sûre et unie, et c'est aussi naturellement une France prospère, une France redressée, une France innovante, industrielle, agricole, une France qui se retrousse les manches, une France au travail qui offre un emploi à chacun et qui cesse de se faire marcher sur les pieds dans la mondialisation !

Pas de perspective française, pas d'avenir pour nos jeunes, pas de dignité pour nos anciens, sans redressement économique et social !

La terre de France je ne la crois pas un instant condamnée à n'être qu'une vaste friche industrielle ou un terrain de jachère. Je ne me résous pas à ce que les files d'attente devant Pole Emploi soient plus fournies que celles devant les grilles de nos usines!

Je crois profondément au génie français. J'ai une confiance totale dans nos savoir-faire, la formation d'excellence que nos écoles savent encore donner. J'ai la certitude que si on lui propose un grand dessein le peuple de France, étudiants travailleurs, retraités, créateurs, chercheurs aura à cœur de travailler d'arrache-pied pour se relever !

Alors, oui mes chers compatriotes, je fixe en matière de prospérité trois grands objectifs, et je ne fais qu'une seule promesse : tout mettre en œuvre pour les atteindre !

Ces trois objectifs sont simples : redonner du travail au Français, remettre la justice là où il n'y a plus qu'injustice, et faire de la France un pays qui produit !

Ces objectifs – le travail, la justice, la production – ne sont pas des mots lancés en l'air. Et bien sûr, on ne les atteindra pas par je-ne-sais-quel-miracle, en claquant des doigts, ou en répétant ad nauseam les mêmes mensonges sur une croissance mirage qu'on invente de toutes pièces pour tromper et tromper encore une opinion publique légitimement en colère !

Ces objectifs – travail, justice, production – tranchent avec les discours lénifiants de ceux qui ont tout échoué depuis si longtemps mais qui par la grâce d'un retour aux affaires voudraient nous faire croire qu'ils peuvent donner des leçons de compétence.

Nous mettrons tout en œuvre, dans la clarté et la vérité, pour remplir ce contrat que je passe avec les Français.

Un contrat exigeant mais qui mérite de le porter de toutes nos forces.

Ce que je veux c'est une France qui tienne son rang face à la mondialisation sauvage. Une France qui retrouve des muscles pour faire valoir ses atouts et protéger ses intérêts.

C'est la grande bataille que je lancerai pour le protectionnisme à nos frontières nationales, un protectionnisme intelligent, tarifaire et non tarifaire, qui visera à rétablir une concurrence juste quand aujourd'hui elle est déloyale, quand aujourd'hui sans aucun respect pour quelque norme que ce soit :

• on devrait laisser sans rien dire des productions venues d'Europe de l'Est, de Chine ou d'ailleurs submerger notre marché national,

• ou l'on devrait sans réagir laisser délocaliser nos productions ou nos services, ou encore comme dans le bâtiment ou le transport par exemple, laisser nos entreprises et nos salariés être, sur notre propre territoire, victimes d'un dumping social féroce.

Pas de réindustrialisation sans protectionnisme, c'est à dire sans sortir de cette attitude naïve et suicidaire face à des concurrents qui eux n'hésitent pas à défendre et protéger leurs intérêts.

Et parce que je ne vous ai fait qu'une seule promesse : tout mettre en œuvre pour atteindre mes objectifs, je ne reculerai devant rien, et certainement pas devant les oukases ultralibéraux des grands prêtres de l'Union européenne, qui depuis des années se noient dans les mensonges de leur idéologie, mais n'ont pas le droit d'y noyer les peuples avec eux !

Pas d'emploi, pas de production, et donc pas de justice sans stopper la machine à aspirer l'industrie française, mais aussi l'industrie espagnole, italienne, irlandaise, portugaise : l'euro !

Monnaie unique, monnaie inique, invention allemande qui correspond provisoirement aux intérêts de l'Allemagne, ou plus exactement aux intérêts du grand patronat allemand, mais qui défait nos pays, qui défait, vide de son énergie industrielle et agricole la France. Machine à détruire notre compétitivité et nos exportations, à fabriquer du déficit.

Oui, je refuse les discours déclinistes des adeptes du surplace et de l'immobilisme.

Si le protectionnisme est possible dans un si grand nombre de pays du monde, il le sera demain en France, dans une France souveraine !

Si 95% des nations maîtrisent leur monnaie et leur politique monétaire, la France aura les capacités de le faire elle-aussi demain ! Comme elle l'a fait durant des siècles hier.

Je refuse de voir mon pays mourir pour les beaux yeux de la Banque centrale de Francfort.

Je refuse qu'on fasse croire aux Français que le changement serait impossible pour mieux leur faire avaler la pilule d'une idéologie moribonde.

Si le patriotisme économique ne plaît pas à l'Union européenne, et bien nous nous passerons de l'Union européenne, parce que nous voulons le meilleur pour la France!

Une France qui crée de l'emploi, de la justice, une France qui produit, c'est une France qui demain demandera par une loi à son Etat, à ses collectivités locales, à ses entreprises publiques d'acheter en priorité français !

C'est une France qui n'obéira plus aux directives insensées d'une Europe qui veut privatiser tous ses services publics, qui veut faire entrer la loi de l'ultrarentabilité et à tout prix notamment au prix de l'égalité des citoyens et, en réalité, de la prospérité des consommateurs.

C'est une France qui valorisera le travail, par une fiscalité beaucoup plus juste, pour les ménages comme pour les PME.

Une France qui n'acceptera plus de voir des retraités vivre dans des conditions indécentes.

Une France qui protégera l'environnement parce qu'elle produira sur place et non parce qu'elle aura créé 36 taxes verdâtres !

Une France qui refusera la dictature de la finance aujourd'hui maîtresse et des banques d'affaire, parce que sa Banque Centrale sera souveraine, parce que son Etat aura un cap, parce que les lobbies auront été dégonflés et la corruption remplacée par la probité et le sens du service !

Une France tournée vers l'avenir, avec son Etat comme socle solide, des muscles pour se battre et l'intelligence collective de son peuple pour avancer et inventer sans cesse !

Une France sûre d'elle-même

Mais, quand nous dessinons les perspectives françaises, nous voyons que le pire poison, mes chers compatriotes, c'est le manque de confiance en soi, c'est la dépréciation de soi, de son propre pays.

Et l'antidote à ce poison, c'est l'espérance française. Cette espérance que je partage avec vous aujourd'hui pour redonner confiance à tout un peuple, à mon peuple.

Lui redonner confiance en lui, redonner à tous les Français la maitrise de leurs lendemains et le sentiment de leur profonde utilité.

Confiance dans nos capacités individuelles et collectives. Confiance dans notre avenir, dans notre destin, dans nos forces et nos atouts !

Confiance, oserai-je dire, dans la bonne étoile qui guide la France depuis des siècles et la hissera à nouveau demain aux premiers plans.

Nous sommes la France !

Prenez conscience de ce que cela signifie, des millénaires d'histoire qui nous précédent, prenez conscience de l'éclat de ce nom dans le monde entier, de la gloire qu'il porte, du respect que partout il inspire, de l'honneur que nous ressentons d'en être !

Oui nous sommes la France !

Nous sommes ce pays qui peut compter sur un peuple de bon sens quand ses élites ont trahi.

Un pays unique, une nation politique, la plus politique d'entre toutes les nations du monde. Un pays qui abat l'impossible quand il est uni, rassemblé.

Nous ne sommes pas le passé, nous ne sommes pas petits, nous ne sommes pas moyens, nous ne sommes pas un musée, nous ne sommes pas une région d'Europe, nous ne sommes le vassal de personne.

Je ne veux plus qu'aucun Français en doute !

Je vous demande mes chers compatriotes de ne pas laisser vos pseudo-élites salir votre pays, et de vous battre avec la première des énergies pour faire respecter votre droit à la fierté.

Ce n'est pas le peuple français qui est faible, ce sont nos élites qui l'affaiblissent.

Ce n'est pas le peuple français qui désespère, ce sont nos élites qui nous désespèrent.

Le peuple français n'a pas peur, ce sont nos élites qui nous font peur.

Ce n'est pas le peuple français qui manque de courage, ce sont nos élites qui le découragent.

Oui, vous avez droit d'être fiers de vous, d'être fiers de votre pays. Ce n'est pas honteux, ce n'est pas criminel, c'est au contraire indispensable, et c'est ainsi que nous rayonnerons !

Je me battrai contre tous ceux qui, au plus haut niveau, n'ont de cesse de rétrecir leur propre pays, qui de gré ou de force veulent le maintenir dans la médiocrité ou l'asservissement.

Nous sommes la France, nous sommes l'avenir, nous sommes nécessairement la grandeur parce que nous sommes la France !

Mes chers compatriotes, sûr de soi ne veut pas dire seul. Sûr de soi ne veut pas présomptueux. Sûr de soi ne veut pas dire irréaliste. La confiance est d'abord le reflet de l'amour que l'on porte à sa patrie.

Si la France chasse de sa tête les oiseaux de mauvais augure et les velléitaires de gauche et de droite, les portes de l'avenir lui seront grand ouvertes.

Voilà pourquoi je vous demande de croire en vous ! Et voilà pourquoi je mettrai fin à toutes les repentances !

Je ne supporte pas qu'on symbolise, par des repentances aussi inutiles, mensongères que blessantes, la volonté de rabaisser la France, cet acteur du monde qui toujours s'est battu pour l'opprimé et l'asservi et qui est encore, malgré ses dirigeants, symbole de liberté dans le monde.

Voilà pourquoi je remettrai l'enseignement de l'histoire de France au cœur des programmes scolaires. Nicolas Sarkozy avait fait disparaître Charles Martel, Henri IV, Louis XIV et Napoléon, voilà que François Hollande retire le général De Gaulle.

A ce rythme, qu'il supprime l'enseignement de l'histoire, ça ira plus vite !

Mais pour qui se prennent-ils ? Le passé ne leur appartient pas, ils ne peuvent pas en disposer à leur guise.

Je rendrai donc aux Français toutes les composantes de leur patrimoine au premier rang desquelles leur histoire glorieuse.

Le chemin du redressement que je dessine avec vous ne sera pas tous les jours facile, c'est certain.

Mais il sera vrai, il sera juste, il sera enthousiasmant.

Et il sera surtout possible si la France cesse de se lamenter sur elle-même, cesse de douter d'elle-même, cesse de se flageller, cesse de regarder toujours hier et avant-hier quand il faut résolument et de toute urgence penser à demain ! En un mot, si la France est la France.

La nouvelle politique et conclusion

Mes chers amis, vous avez compris que le chemin que je propose, que nous proposons, à la France, n'est pas celui sur lequel, avec l'UMPS, nous errons depuis des décennies.

Parce que je suis convaincue que le peuple lui sait où il veut aller, alors c'est lui qui doit reprendre la tête de l'épopée française.

Mais il ne suffit pas de savoir où l'on veut aller. Il faut aussi savoir comment on y va.

Je ne veux pas proposer aux Français de continuer à faire de la politique comme on en fait en France depuis maintenant trop longtemps.

Le fossé qui sépare le peuple des politiques est devenu un gouffre. Le divorce entre la classe politique traditionnelle et les Français est consommé et c'est un divorce pour faute, aux torts exclusifs de l'UMPS. Il n'est plus possible d'appliquer aujourd'hui les mêmes recettes que par le passé.

Alors, puisqu'ils sont de plus en plus nombreux à nous faire confiance, je veux commencer à dire aux Français qu'il y a une autre manière de faire de la politique.

Je veux commencer aujourd'hui à expliquer la nouvelle politique que je propose aux Français.

Il y a d'abord une réflexion à mener sur la notion de promesse.

Dans la vie politique française, existe une habitude insupportable : à chaque élection, les candidats nous font des promesses, ils en remplissent des catalogues entiers, et à chaque fois, arrivés au pouvoir, ils ne les tiennent pas, et font souvent l'inverse de ce qu'ils avaient promis.

Nous sommes obligés de constater que tous les responsables politiques depuis 30 ans ont été élus sur des mensonges.

Je pense bien sûr à François Hollande et à ses promesses sur le chômage, je pense à Nicolas Sarkozy et à ses promesses sur l'immigration, la sécurité ou le pouvoir d'achat, jamais tenues!

Le premier problème qui se pose, ce sont évidemment les hommes, c'est cette classe politique, c'est l'absence de souveraineté qui les amène à préférer la communication à l'action.

Ces gens-là ont pris l'habitude de mentir effrontément aux Français. Ils ne peuvent rien faire et font croire qu'ils peuvent, le temps d'une campagne...

Ça n'a pas tant d'importance pour eux puisque leurs préoccupations essentielles n'est pas qu'est-ce qu'ils feront arrivés au pouvoir mais comment arriver à se faire élire.

La tactique politicienne a pris le pas sur la politique.

Les moyens sur la fin.

Les promesses sur les objectifs.

La défense des intérêts personnels sur celle de l'intérêt général.

C'est vrai et il faut le reconnaître et le dire avec franchise aux Français, nous vivons dans un monde complexe.

Et dans un monde complexe, il n'est pas possible de faire des promesses simplistes ou purement idéologiques.

Dans un monde complexe comme l'est le monde d'aujourd'hui, il n'est plus possible de dire qu'il suffira d'un peu de volonté ou de chance pour que les mesures que l'on prendra produisent les effets que l'on recherche.

Il n'est plus possible de faire croire, à chaque élection, qu'avec les mêmes recettes demain tout ira mieux.

Que ce qui n'était pas possible hier, ce que l'on n'a pas voulu ou pas pu faire, on le fera demain.

Les Français ont trop souffert, et ils souffrent encore aujourd'hui, de cette facilité dans la vie politique française.

Et quand je dis cela, je pense aussi aux désillusions futures, à cet éternel recommencement du cycle des promesses non tenues.

Je veux que cela change.

Nous devons revoir fondamentalement notre manière de voir la politique. La politique, ce ne sont pas des coups de baguette magique, des incantations ou des danses de la pluie.

La politique, ce doit être un combat de tous les jours pour tenir les objectifs fondamentaux que l'on s'est fixé.

C'est un combat contre les effets pervers des décisions que l'on prend, c'est un combat contre les forces puissantes qui veulent contrecarrer la volonté du peuple.

Ces forces contraires, et la finance internationale en est une, comme certains conservatismes, ou certains fanatismes, on sait qu'elles se manifesteront, et l'on doit se préparer à les affronter.

La politique, ce doit être un combat au nom de grands objectifs que l'on fixe, avec le peuple, par et pour le peuple. Et c'est l'engagement fondamental, peut-être la seule promesse que l'on soit en droit de faire, dans laquelle l'on puisse mettre toute son énergie, toute sa détermination, toute son audace, au service de ces objectifs.

Oui, dans cette nouvelle politique, fini les enchaînements de promesses. Place aux objectifs !

Que le peuple sache clairement pour quoi il vote !

Qu'il sache ce qu'il veut faire, ce qu'il se fixe comme ambitions, et que le chemin soit clair pour tout le monde !

Fixer quelques grands objectifs pour la France, ce que j'ai fait aujourd'hui, et ne vous faire qu'une seule et unique promesse : tout mettre en œuvre pour atteindre ces objectifs, pour respecter la parole du peuple français, ses choix fondamentaux !

Voilà une nouvelle façon de faire de la politique.

La nouvelle politique, c'est de dire aux Français, avant les élections, que ce ne sera pas facile. Que l'on ne se remettra pas de trente années d'abandon, d'errances et de défaites, en un mois ou une année.

La nouvelle politique c'est un langage de vérité, pour dire qu'il ne faudra pas fléchir sur certaines orientations, qu'il faudra être ferme.

Je peux le dire aux Français. Quand nous serons au pouvoir, nous ne ferons pas plaisir à tout le monde. Nous ne satisferons pas toutes les demandes minoritaires. Nous ne pourrons pas faire dans la démagogie.

Parce que nous devrons nous en tenir à l'essentiel. Nous devrons d'abord et avant tout atteindre les objectifs sur lesquels nous aurons été élus par la majorité des Français.

C'est la voix du peuple qui s'exprime à travers les élections.

C'est la voix légitime de la majorité qui détermine la politique de la Nation. Et si le peuple a majoritairement statué pour aller dans une direction, c'est cette direction qu'il faut suivre, quelles que soient les pressions et les vents contraires que nous devons subir.

Alors, oui, je serai dure avec certaines revendications illégitimes, et je ne succomberai pas à la démagogie, qui serait de vouloir faire plaisir à ceux qui s'opposent à la voie choisie par le peuple français, à ceux qui revendiquent le plus haut, à ceux qui parlent le plus fort.

Je serai dure avec les minorités autoproclamées qui veulent faire plier l'ordre républicain, contre la sécurité de tous.

Je serai dure avec ceux qui fraudent la Sécurité Sociale, contre la survie de notre modèle français.

Je serai dure avec les spéculateurs qui veulent s'enrichir sur le dos des travailleurs et des entrepreneurs, contre la vitalité de notre économie.

Je serai dure avec les fanatiques qui veulent imposer leur loi dans l'espace public, dans l'école et dans l'entreprise, contre la laïcité et l'universalité de nos lois.

Je serai dure avec ceux qui ne jouent pas le jeu, parce que je veux que la volonté du peuple soit enfin entendue et respectée.

Je sais qu'il y aura des râleries, des contestations, des souffrances peut-être même, mais je ne peux tolérer que des intérêts particuliers prennent trop de poids au détriment de l'intérêt général.

Qu'on me comprenne bien, je ne suis l'ennemie de personne, d'aucune religion, d'aucune catégorie de la population, et je n'en veux à personne en particulier, ni ne m'attaquerai aux droits de quiconque, mais qu'on sache que je ne travaillerai qu'au service de la France et de la défense de l'intérêt des Français. Dans le respect absolu du mandat qu'ils m'auront donné.

Un président doit présider, et un Premier ministre, avec ses ministres, gouverner.

Je pense donc que le président de la République est responsable de la stratégie qui doit guider la politique de la Nation. Il n'a pas besoin pour cela d'un cabinet pléthorique, de créer des doublons de ministres, ou de donner à ses conseillers une autorité politique quelconque.

C'est à lui de décider, et c'est au Premier ministre de prendre en charge l'exécution des orientations déterminées. Il faut donc choisir à ce poste la personne la plus compétente pour exécuter une stratégie, et à la tête de chaque ministère des personnalités qui sont en phase avec la ligne générale fixée par le peuple.

Qu'il y ait des opinions personnelles émises dans le cadre de la communication gouvernementale, chacun peut le comprendre.

Mais qu'un ministre remette en cause publiquement l'orientation dessinée par le président de la République, et à travers lui, par le peuple français, est inacceptable !

Je ne pense pas par ailleurs, puisque nous parlons du gouvernement de la France, qu'on puisse se satisfaire d'une équipe ministérielle déconnectée de la réalité que connaissent les Français.

Vous le savez, nous sommes le parti de la réalité, nous sommes le seul mouvement qui ait ce souci de tenir compte de la réalité vécue par les Français.

Comment concevoir qu'un gouvernement ne comporte quasiment aucun membre issu de l'entreprise, qu'il s'agisse d'entrepreneurs ou de salariés ? C'est pourtant le cas du gouvernement actuel, c'était le cas du précédent.

Il faut à l'inverse, dans le gouvernement, des gens qui aient expérimenté la complexité de l'univers économique, des gens qui aient vécu l'expérience d'un salarié, qui aient conscience de ce que signifie le mot précarité, de ce que signifie la peur du chômage, l'angoisse des fins de mois difficiles, des gens qui aient eu envie un jour de créer une entreprise, qui aient vécu, concrètement, ce que signifie la rudesse de la concurrence.

Oui, le peuple de France, dans toutes ses composantes, a le droit d'être représenté. A l'Assemblée Nationale, bien sûr, mais aussi au gouvernement de la République.

Dans tous les rouages de l'administration, notamment au plus haut niveau, il faut des personnes respectueuses des grandes orientations fixées par le peuple français.

C'est une donnée essentielle de cette nouvelle politique que je veux mener : il faut casser la connivence qui existe entre la haute fonction publique et la haute finance.

Je ne veux plus de ces transferts entre Bercy et les multinationales de la finance, entre l'inspection générale des finances et les banques d'affaires.

Je remettrai de l'ordre dans les affaires de l'Etat, du gouvernement et de son administration.

Et pour que le gouvernement de la Nation puisse conduire une action déterminée, fidèles aux grandes orientations prises par le président, il faut que le circuit législatif soit accéléré. Nous n'avons plus de temps pour attendre quelques réformes essentielles.

Ainsi, l'Assemblée Nationale, dont je respecte totalement la légitimité, à condition qu'elle soit élue au scrutin proportionnel et que la France soit souveraine, doit exercer son pouvoir législatif et contrôler l'action du gouvernement.

Mais je ne peux comprendre aujourd'hui que le Sénat vienne considérablement ralentir le rythme du vote des lois, pour une valeur ajoutée très discutable et un coût très élevé. Le débat doit s'ouvrir sur le maintien ou la suppression de cette chambre, tant il est vrai qu'en ces temps difficiles, tout ce qui n'est pas utile est inutile.

Si j'insiste aujourd'hui mes chers amis, sur la façon nouvelle dont il faut faire de la politique en France, c'est que j'ai bien mesuré le degré d'exaspération des Français, et que je commence à m'en inquiéter.

Je m'en inquiète, parce que je sais que le contournement permanent de la volonté populaire, par le non respect des promesses, par l'attention toujours donnée à ceux qui ne se reconnaissent pas dans la République, par le flou aussi toujours entretenu sur le dessein que l'on veut vraiment pour la France, je sais que toutes ces causes de l'exaspération des Français peu à peu minent la confiance collective dans l'action politique.

Pis, ces ferments de destruction sapent le moral du pays, c'était hier une étude d'opinion annonçant que ¾ des Français ne croyaient plus en l'avenir du pays, année après année ils l'enfoncent dans un défaitisme dont il n'apparaît plus aujourd'hui possible de sortir, et surtout désagrègent, lentement mais sûrement, notre contrat social.

Ce que je crains aujourd'hui, si l'on continue dans la voie que nous suivons depuis des décennies, c'est la décomposition de l'unité des Français, c'est, pour le dire plus simplement, la désunion, l'insurrection et peut être même la guerre civile.

Oui, si nous ne changeons pas notre façon de faire de la politique, c'est au final cette terrible issue que nous pouvons craindre. Sombre perspective.

Mais perspective évitable, parce que nous sommes là !

Je vous le disais tout à l'heure, l'année 2013 est une année sans élection. Mais l'année 2014 verra les scrutins municipaux et européens. Nous devons dès maintenant nous tourner vers ces batailles électorales qui sont autant d'opportunités d'amorcer un virage aussi radical que salutaire pour la France.

Nous devons dès maintenant dessiner, pour les Français, la perspective française que nous leur proposons.

Les maires, les conseillers municipaux, les députés européens que nous ferons élire seront l'avant-garde de cette nouvelle donne politique.

Ils constitueront partout dans les Conseils municipaux, mais aussi au parlement avec tous les patriotes des Nations européennes, les prémisses de l'alternative que nous proposons aux Français. La preuve aussi que faire mieux, beaucoup mieux c'est possible !

Nous menons un beau combat et avec nous toutes les forces patriotes de France- la jeunesse nous regarde, nous attend et nous rejoint.

Les Français unis sont invincibles disais-je il y a quelques minutes.

Je n'ai jamais eu de croyance plus forte.

De toutes mes forces, de toute mon âme, j'ai espoir en la France, et j'ai espoir en la politique.

De tout mon cœur, je crois en vous !

Portez partout en France, ce message, la France peut se relever, une autre politique est possible !

Il ne tient qu'à vous, il ne tient qu'à nous, il ne tient qu'à la France toute entière de croire en elle-même !

Vive le Front National !

Vive la République !

Vive la France !

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7.1 Responsables de la collecte des données personnelles

Pour les Données Personnelles collectées dans le cadre de la création du compte personnel de l’Utilisateur et de sa navigation sur le Site, le responsable du traitement des Données Personnelles est le Délégué à la protection des données mentionné au premier chapitre des présentes.

En tant que responsable du traitement des données qu’il collecte, il s’engage à respecter le cadre des dispositions légales en vigueur. Il lui appartient notamment d’établir les finalités de ses traitements de données, de fournir à ses utilisateurs, à partir de la collecte de leurs consentements, une information complète sur le traitement de leurs données personnelles et de maintenir un registre des traitements conforme à la réalité. Chaque fois qu’il traite des Données Personnelles, il prend toutes les mesures raisonnables pour s’assurer de l’exactitude et de la pertinence des Données Personnelles au regard des finalités pour lesquelles il les traite.

7.2 Finalité des données collectées

Le responsable du traitement des Données Personnelles est susceptible de traiter tout ou partie des données :

  • pour permettre la navigation sur le Site et la gestion et la traçabilité des prestations et services fournis à l’utilisateur : données de connexion et d’utilisation du Site, signature de pétition, requête via le formulaire de contact, etc.
  • pour prévenir et lutter contre la fraude informatique (spamming, hacking…) : matériel informatique utilisé pour la navigation, l’adresse IP, le mot de passe (hashé)
  • pour améliorer la navigation sur le Site : données de connexion et d’utilisation
  • pour mener des enquêtes de satisfaction facultatives sur le site : adresse email
  • pour mener des campagnes de communication (sms, mail) : nom, numéro de téléphone, adresse email

Le SIEL - Souveraineté, Identité Et Libertés ne commercialise pas vos données personnelles qui sont donc uniquement utilisées par nécessité ou à des fins statistiques et d’analyses.

7.3 Droit d’accès, de rectification et d’opposition

Conformément à la réglementation européenne en vigueur, les Utilisateurs du site disposent des droits suivants :

  • droit d’accès (article 15 RGPD) et de rectification (article 16 RGPD), de mise à jour, de complétude des données des Utilisateurs droit de verrouillage ou d’effacement des données des Utilisateurs à caractère personnel (article 17 du RGPD), lorsqu’elles sont inexactes, incomplètes, équivoques, périmées, ou dont la collecte, l’utilisation, la communication ou la conservation est interdite
  • droit de retirer à tout moment un consentement (article 13-2c RGPD)
  • droit à la limitation du traitement des données des Utilisateurs (article 18 RGPD)
  • droit d’opposition au traitement des données des Utilisateurs (article 21 RGPD)
  • droit à la portabilité des données que les Utilisateurs auront fournies, lorsque ces données font l’objet de traitements automatisés fondés sur leur consentement ou sur un contrat (article 20 RGPD)
  • droit de définir le sort des données des Utilisateurs après leur mort et de choisir à qui le responsable du traitement des Données Personnelles devra communiquer (ou non) ses données à un tiers qu’il aura préalablement désigné

Dès que le responsable du traitement des Données Personnelles a connaissance du décès d’un Utilisateur et à défaut d’instructions de sa part, il s’engage à détruire ses données, sauf si leur conservation s’avère nécessaire à des fins probatoires ou pour répondre à une obligation légale.

Si l’Utilisateur souhaite savoir comment le responsable du traitement des Données Personnelles utilise ses Données Personnelles, demande à les rectifier ou s’oppose à leur traitement, l’Utilisateur peut le contacter par écrit à l’adresse suivante :

SIEL - SOUVERAINETÉ, IDENTITÉ ET LIBERTÉS
Délégué à la protection des données
3, rue de l’arrivée, Bureau 407, 75015 Paris

Dans ce cas, l’Utilisateur doit indiquer les Données Personnelles qu’il souhaiterait que le Délégué à la protection des données corrige, mette à jour ou supprime, en s’identifiant précisément avec une copie d’une pièce d’identité (carte d’identité ou passeport).

Les demandes de suppression de Données Personnelles seront soumises aux obligations qui sont imposées au SIEL - Souveraineté, Identité Et Libertés par la loi, notamment en matière de conservation ou d’archivage des documents. Enfin, les Utilisateurs du site peuvent déposer une réclamation auprès des autorités de contrôle, et notamment de la CNIL (http://www.cnil.fr/fr/plaintes).

7.4 Non-communication des données personnelles

Le SIEL - Souveraineté, Identité Et Libertés s’interdit de traiter, héberger ou transférer les Informations collectées sur ses Utilisateurs vers un pays situé en dehors de l’Union européenne ou reconnu comme « non adéquat » par la Commission européenne sans en informer préalablement l’Utilisateur. Pour autant, il reste libre du choix de ses sous-traitants techniques et commerciaux à la condition qu’il présentent les garanties suffisantes au regard des exigences du Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD : n° 2016-679).

Le SIEL - Souveraineté, Identité Et Libertés s’engage à prendre toutes les précautions nécessaires afin de préserver la sécurité des Informations et notamment qu’elles ne soient pas communiquées à des personnes non autorisées. Cependant, si un incident impactant l’intégrité ou la confidentialité des Informations de l’Utilisateur est portée à sa connaissance, celui-ci devra dans les meilleurs délais informer l’Utilisateur et lui communiquer les mesures de corrections prises. Par ailleurs le site ne collecte aucune « donnée sensible ».

Les Données Personnelles de l’Utilisateur peuvent être traitées par des sous-traitants (prestataires de services), exclusivement afin de réaliser les finalités de la présente politique.

Dans la limite de leurs attributions respectives et pour les finalités rappelées ci-dessus, les principales personnes susceptibles d’avoir accès aux données des Utilisateurs du site sont principalement les agents de notre service éditorial.

8. Notification d’incident

Quels que soient les efforts fournis, aucune méthode de transmission sur Internet et aucune méthode de stockage électronique n’est complètement sûre. Nous ne pouvons en conséquence pas garantir une sécurité absolue. Si nous prenions connaissance d’une brèche de la sécurité, nous avertirions les utilisateurs concernés afin qu’ils puissent prendre les mesures appropriées. Nos procédures de notification d’incident tiennent compte de nos obligations légales, qu’elles se situent au niveau national ou européen. Nous nous engageons à informer pleinement nos utilisateurs de toutes les questions relevant de la sécurité de leur compte et à leur fournir toutes les informations nécessaires pour les aider à respecter leurs propres obligations réglementaires en matière de reporting.

Aucune information personnelle de l’utilisateur du site n’est publiée à l’insu de l’utilisateur, échangée, transférée, cédée ou vendue sur un support quelconque à des tiers.

Sécurité

Pour assurer la sécurité et la confidentialité des Données Personnelles et des Données Personnelles de Santé, le Site utilise des réseaux protégés par des dispositifs standards tels que par pare-feu, la pseudonymisation, encryption et identification par mot de passe.

Lors du traitement des Données Personnelles, Le SIEL - Souveraineté, Identité Et Libertés prend toutes les mesures raisonnables visant à les protéger contre toute perte, utilisation détournée, accès non autorisé, divulgation, altération ou destruction.

9. Liens hypertextes « cookies » et balises (“tags”) internet

Le site contient un certain nombre de liens hypertextes vers d’autres sites, mis en place avec l’autorisation du site. Cependant, l’Éditeur n’a pas la possibilité de vérifier le contenu des sites ainsi visités, et n’assumera en conséquence aucune responsabilité de ce fait.

Sauf si vous décidez de désactiver les cookies, vous acceptez que le site puisse les utiliser. Vous pouvez à tout moment désactiver ces cookies et ce gratuitement à partir des possibilités de désactivation qui vous sont offertes et rappelées ci-après, sachant que cela peut réduire ou empêcher l’accessibilité à tout ou partie des Services proposés par le site.

9.1. « COOKIES »

Un « cookie » est un petit fichier d’information envoyé sur le navigateur de l’Utilisateur et enregistré au sein du terminal de l’Utilisateur (ex : ordinateur, smartphone), (ci-après « Cookies »). Ce fichier comprend des informations telles que le nom de domaine de l’Utilisateur, le fournisseur d’accès Internet de l’Utilisateur, le système d’exploitation de l’Utilisateur, ainsi que la date et l’heure d’accès. Les Cookies ne risquent en aucun cas d’endommager le terminal de l’Utilisateur.

L’Editeur est susceptible de traiter les informations de l’Utilisateur concernant sa visite du Site, telles que les pages consultées, les recherches effectuées. Ces informations permettent à l’éditeur d’améliorer le contenu du Site, de la navigation de l’Utilisateur.

Les Cookies facilitant la navigation et/ou la fourniture des services proposés par le Site, l’Utilisateur peut configurer son navigateur pour qu’il lui permette de décider s’il souhaite ou non les accepter de manière à ce que des Cookies soient enregistrés dans le terminal ou, au contraire, qu’ils soient rejetés, soit systématiquement, soit selon leur émetteur. L’Utilisateur peut également configurer son logiciel de navigation de manière à ce que l’acceptation ou le refus des Cookies lui soient proposés ponctuellement, avant qu’un Cookie soit susceptible d’être enregistré dans son terminal. Le Site informe l’Utilisateur que, dans ce cas, il se peut que les fonctionnalités de son logiciel de navigation ne soient pas toutes disponibles.

Si l’Utilisateur refuse l’enregistrement de Cookies dans son terminal ou son navigateur, ou si l’Utilisateur supprime ceux qui y sont enregistrés, l’Utilisateur est informé que sa navigation et son expérience sur le Site peuvent être limitées. Cela pourrait également être le cas lorsque l’Éditeur ne peut pas reconnaître, à des fins de compatibilité technique, le type de navigateur utilisé par le terminal, les paramètres de langue et d’affichage ou le pays depuis lequel le terminal semble connecté à Internet.

Le cas échéant, Le SIEL - Souveraineté, Identité Et Libertés décline toute responsabilité pour les conséquences liées au fonctionnement dégradé du Site et des services éventuellement proposés par le Site, résultant (i) du refus de Cookies par l’Utilisateur (ii) de l’impossibilité pour le Site d’enregistrer ou de consulter les Cookies nécessaires à leur fonctionnement du fait du choix de l’Utilisateur. Pour la gestion des Cookies et des choix de l’Utilisateur, la configuration de chaque navigateur est différente. Elle est décrite dans le menu d’aide du navigateur, qui permettra de savoir de quelle manière l’Utilisateur peut modifier ses souhaits en matière de Cookies.

À tout moment, l’Utilisateur peut faire le choix d’exprimer et de modifier ses souhaits en matière de Cookies. L’Éditeur pourra en outre faire appel aux services de prestataires externes pour l’aider à recueillir et traiter les informations décrites dans cette section.

Enfin, en cliquant sur les icônes dédiées aux réseaux sociaux Twitter, Facebook, Linkedin et Google Plus figurant sur le Site ou dans son application mobile et si l’Utilisateur a accepté le dépôt de cookies en poursuivant sa navigation sur le Site Internet ou l’application mobile, Twitter, Facebook, Linkedin et Google Plus peuvent également déposer des cookies sur vos terminaux (ordinateur, tablette, téléphone portable).

Ces types de cookies ne sont déposés sur vos terminaux qu’à condition que vous y consentiez, en continuant votre navigation sur le Site Internet ou l’application mobile. À tout moment, l’Utilisateur peut néanmoins revenir sur son consentement à ce que le Site dépose ce type de cookies.

9.2. BALISES (“TAGS”) INTERNET

Le Site peut employer occasionnellement des balises Internet (également appelées « tags », ou balises d’action, GIF à un pixel, GIF transparents, GIF invisibles et GIF un à un) et les déployer par l’intermédiaire d’un partenaire spécialiste d’analyses Web susceptible de se trouver (et donc de stocker les informations correspondantes, y compris l’adresse IP de l’Utilisateur) dans un pays étranger.

Ces balises sont placées à la fois dans les publicités en ligne permettant aux internautes d’accéder au Site, et sur les différentes pages de celui-ci.

Cette technologie permet à l’Éditeur d’évaluer les réponses des visiteurs face au Site et l’efficacité de ses actions (par exemple, le nombre de fois où une page est ouverte et les informations consultées), ainsi que l’utilisation de ce Site par l’Utilisateur.

Le prestataire externe pourra éventuellement recueillir des informations sur les visiteurs du Site et d’autres sites Internet grâce à ces balises, constituer des rapports sur l’activité du Site à l’attention de l’Éditeur, et fournir d’autres services relatifs à l’utilisation de celui-ci et d’Internet.

10. Droit applicable et attribution de juridiction.

Tout litige en relation avec l’utilisation du site est soumis au droit français. En dehors des cas où la loi ne le permet pas, il est fait attribution exclusive de juridiction aux tribunaux compétents de Paris.

Mentions légales relatives aux dons

Conformément à la loi n°88-227 du 11 mars 1988, le mandataire financier, Mme Martine Pincemin, déclaré le 2 février 2016 à la Préfecture de Paris, est seul habilité à recueillir des dons en faveur du SIEL - Souveraineté, Identité Et Libertés.

Chaque don fera l’objet d’un reçu fiscal qui vous sera transmis par le mandataire financier pour obtenir une réduction d’impôt sur le revenu égale à 66 % du montant de votre soutien financier, dans la limite de 20 % du revenu imposable et de 15 000 € (article 200 – 1 du Code Général des Impôts). Ce reçu ne comportera pas d’identité du bénéficiaire si le don est inférieur ou égal à 3 000 €. Les dons des personnes morales (entreprises, associations non politiques) sont interdits. Une même personne physique ne peut donner annuellement plus de 7 500 € à un ou plusieurs partis politiques.

Article 11-4 de la loi n° 88-227 de la loi du 11 mars 1988

Les dons consentis et les cotisations versées en qualité d’adhérent d’un ou de plusieurs partis politiques par une personne physique dûment identifiée à une ou plusieurs associations agréées en qualité d’association de financement ou à un ou plusieurs mandataires financiers d’un ou de plusieurs partis politiques ne peuvent annuellement excéder 7 500 euros.  Les personnes morales à l’exception des partis ou groupements politiques ne peuvent contribuer au financement des partis ou groupements politiques, ni en consentant des dons, sous quelque forme que ce soit, à leurs associations de financement ou à leurs mandataires financiers, ni en leur fournissant des biens, services ou autres avantages directs ou indirects à des prix inférieurs à ceux qui sont habituellement pratiqués.

Article 11-5 de la loi n° 88-227 de la loi du 11 mars 1988

Ceux qui ont versé des dons à un ou plusieurs partis politiques en violation de l’article 11-4 sont punis d’une amende de 3 750 euros et d’un an d’emprisonnement. Les mêmes peines sont applicables au bénéficiaire de dons consentis :

  1. Par une même personne physique à un seul parti politique en violation du premier alinéa du même article 11-4 ;
  2. Par une personne morale en violation du troisième alinéa dudit article 11-4 ;
  3. Par un État étranger ou par une personne morale de droit étranger en violation du sixième alinéa du même article 11-4.