FACE AUX DÉFIS QUI NOUS ATTENDENT, POUR NE PAS LAISSER LA FRANCE SORTIR DÉFINITIVEMENT DE L'HISTOIRE

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Karim Ouchikh

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jeudi, 17 mai 2018 18:55

Contrôle technique automobile : je demande au gouvernement d’ajourner sa réforme désastreuse (Vidéo)

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Contrôle technique automobile : je demande au gouvernement d’ajourner sa réforme désastreuse (Vidéo)

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vendredi, 27 avril 2018 11:16

L’identité sera pour la droite le levier de l’alternance à Macron

L’identité sera pour la droite le levier de l’alternance à Macron
Karim Ouchikh, président du SIEL, vient de faire paraître une Tribune dans "Valeurs Actuelles" : 
“Alors que la gauche est durablement disqualifiée aux yeux des Français pour gouverner à nouveau le pays, la relève viendra à coup sûr de la droite de l’échiquier politique, parce que le sentiment patriotique y subsiste plus qu’ailleurs”, estime Karim Ouchikh, président du SIEL et conseiller régional Ile-de-France.
 
Je ne reconnais plus mon cher pays, menacé aujourd’hui de disparition. Des peuples entiers s’engouffrent sur notre territoire en toute impunité et s’y installent partout avec la complicité des pouvoirs publics, comme à Paris où les enclaves étrangères, africaines, turque, chinoise ou indienne, s’y multiplient depuis des années et s’y enracinent sans entraves ; des populations particulièrement décomplexées qui importent sur notre sol des conflits lointains et imposent, singulièrement avec l’islam, des modèles de civilisation anxiogènes qui prospèrent devant le vide moral, spirituel et culturel français... Cédant le pas à l’idéologie multiculturaliste et à l’imperium des industries américaines du divertissement, notre culture n’est plus que l’ombre d’elle-même et notre langue, jadis rayonnante, est désormais reléguée en seconde zone. Notre modèle de société est méthodiquement démantelé au fil de réformes qui sacrifient l’Etat providence, les services publics et la ruralité, sur l’autel de la modernité et de la compétitivité internationale. La grandeur de la France est à présent un vague souvenir qui s’efface inexorablement depuis que se confirme l’assujettissement de notre diplomatie et de notre outil militaire aux forces atlantistes. Que dire de la dignité humaine, de la famille, de la liberté d’éduquer, du respect de nos paysages et de la conservation de notre patrimoine historique, ces valeurs autrefois intangibles que l’on passe allégrement aujourd’hui par pertes et profits…
 
Un homme souffle activement sur les braises pour précipiter ce chaos : Emmanuel Macron, cette créature médiatique placée par le Système à la tête de l’Etat pour banaliser l’exception française et faire rentrer la France dans le rang de la mondialisation. L’habilité de l’homme, la puissance des forces qui l’entourent et sa détermination aussi bien à neutraliser les corps intermédiaires qu’à stériliser les oppositions politiques, conduiront, si rien n’est fait d’ici la fin du quinquennat, à lui laisser les clés de l’Elysée pendant neuf ans encore.
 
Rien ne serait plus terrible pour ceux qui demeurent sincèrement attachés à notre pays que de demeurer inactifs alors qu’un vent de révolte souffle puissamment partout sur notre territoire : la submersion migratoire, l’expansion de l’islam, la fronde des élus locaux, la misère des territoires déclassés, les fractures territoriales et culturelles, les angoisses de catégories socio-professionnelles de plus en plus nombreuses, accaparent l’actualité politique et apparaissent comme autant de leviers d’action pour proposer très vite à nos compatriotes une alternative politique crédible.
 
Qu’elle soit immigrationniste ou jacobine, la gauche manifeste son incapacité à se renouveler idéologiquement et peine à surmonter ses divisions surtout depuis la perte de sa composante sociale-démocrate, largement captée par Emmanuel Macron : elle s’en trouve durablement disqualifiée aux yeux des Français pour gouverner à nouveau le pays. Parce que le sentiment patriotique y subsiste plus qu’ailleurs, la relève viendra à coup sûr de la droite de l’échiquier politique : pas de cette droite molle, européiste, libérale et libertaire, partie naturellement grossir les rangs du parti présidentiel, mais de cette droite authentique qui éprouve un amour charnel pour la France et qui accorde depuis toujours une vertu certaine au temps (qui encourage la fidélité des êtres et façonne la continuité historique des peuples), aux limites (qui bornent les espaces et préservent les repères collectifs) et à la spiritualité (qui féconde les âmes et corrige les dérives humaines).
 
Dans cet espace considérable qui sépare LR et le FN, la vraie droite peut retisser les liens, aujourd’hui brisés, d’une confiance renouvelée avec les Français et refonder les bases d’une véritable alternance politique qui ferait la part belle moins aux partis qu’aux trois priorités existentielles suivantes, lesquelles relèvent au fond d’une même détermination à préserver intact l’être français :
 
- Renverser les flux migratoires qui mettent en péril les grands équilibres ethnico-culturels de notre peuple, en interdisant toutes formes d’immigration, en démantelant les dispositifs d’appel d’air et en organisant la remigration ;
- Instaurer un droit du peuple français à sa continuité historique, opposable à tous, qui s’appuierait sur des politiques publiques volontaristes, de l’enseignement scolaire aux médias audiovisuels, en passant par la redéfinition de notre modèle républicain (refondation de la laïcité, réhabilitation de notre héritage chrétien, mise sous tutelle de l’islam…) ;
- Bâtir une Europe nouvelle qui protègerait les peuples européens de l’emprise totalitaire de Davos, du Califat et des GAFA, en mettant les Nations et les Etats de notre continent à l’abri de la bureaucratie bruxelloise.
 
Fort de la cohérence, de la constance et de la solidité de mes engagements politiques, toujours soucieux de l’unité et de la prospérité des Français, notamment des plus vulnérables, je crois exprimer idéalement, avec le SIEL et d’autres esprits libres, cette droite populaire, identitaire et européenne. Comme beaucoup de nos compatriotes, j’avoue cependant ne trouver actuellement dans l’offre des partis de la droite française aucune réponse satisfaisante ; comme en témoigne du reste les récentes prises de positions de Laurent Wauquiez, de Marine Le Pen ou de Nicolas Dupont-Aignan qui se sont livrés ces dernières semaines à une surenchère infantile, - à coup de conférences de presse, de pétitions et autres propositions de référendum -, à seule fin d’élargir leurs parts de marché respectives, à l’occasion du vote de la loi Asile et Immigration ou de la polémique sur la limitation de vitesse à 80 kms/h sur le réseau routier secondaire… Tout cela en vérité n’est à la hauteur ni des défis de civilisation de ce temps, ni des aspirations de notre peuple au rassemblement sincère des forces de la droite. 
 
Les Français dont le cœur penche à droite attendent avant tout de leurs représentants politiques un langage de vérité : de LR qu’il revienne définitivement aux fondamentaux idéologiques du RPR, qu’il écarte les personnalités centristes qui menacent encore son unité et qu’il adopte une cohérence idéologique entre ses votes pratiqués à Paris, à Bruxelles et dans les exécutifs locaux ; du FN qu’il assume enfin sa ligne politique de droite, qu’il rompe avec le mode de fonctionnement autoritaire de sa direction nationale et qu’il acquière au plus vite une culture de partenariat ; de DLF, qu’il s’affranchisse courageusement des pesanteurs du politiquement correct, qu’il ne reproduise pas les travers centralisateurs du FN et qu’il rassemble réellement, au sein des Amoureux de la France, toutes les sensibilités de la droite, sans exclusive.
 
Considérant que la sauvegarde de l’être français constitue, au diapason des préoccupations fondamentales des Français, le ressort politique central qui doit désormais animer notre famille de pensée, je ne lésinerai sur aucun effort pour œuvrer, sur cette base idéologique, au rassemblement de la vraie droite, dans toutes ses composantes, de LR au FN, avec comme seul objectif l’intérêt supérieur de la France. Cultiver en somme les points de convergences plutôt que d’entretenir les motifs de division, chercher aujourd’hui à être en communion d’idées pour être demain en communion d’action, sans jamais oublier que les partis politiques, qui concourent malgré leurs insuffisances à l’expression du suffrage, doivent se réinventer et imaginer de nouvelles formes de collaboration démocratique avec tous les acteurs de la vie publique (fondations, médias, associations locales, mouvements divers…) pour séduire à nouveau le cœur de tous nos compatriotes…
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mercredi, 21 mars 2018 11:24

Basilique de Saint-Denis : interrogé par Boulevard Voltaire, j’appelle le diocèse de Seine-Saint-Denis à déposer plainte et le Parquet à engager des poursuites contre les profanateurs.

Basilique de Saint-Denis : interrogé par Boulevard Voltaire, j’appelle le diocèse de Seine-Saint-Denis à déposer plainte et le Parquet à engager des poursuites contre les profanateurs.

Karim Ouchikh est président du SIEL (Souveraineté, Identités et Libertés) et conseiller régional Île-de-France. Il fait part, au micro de Boulevard Voltaire, de son indignation face aux événements qui se sont produits dans la basilique de Saint-Denis dimanche. Pour lui, il s’agit d’une double violation : d’un lieu de culte et aussi du haut lieu de la mémoire monarchique. Karim Ouchikh appelle les autorités, le diocèse et le parquet à engager des poursuites contre les responsables.

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mardi, 20 mars 2018 19:34

Sauvons la nécropole des Rois de France !

Sauvons la nécropole des Rois de France !

Peut-on sans inconséquence aimer la France et œuvrer à son rayonnement, en reniant dans le même temps les racines de son passé ?

A cette interrogation, essentielle en ces temps où l’inconstance des convictions le dispute à l’incertitude des esprits, il est des renoncements qui en disent davantage que bien des discours.

La basilique Saint Denis abrite une nécropole où reposent 43 rois, 32 reines, des princes et des chevaliers, qui incarnent pareillement les mille cinq cents ans de l’histoire de France.

Dagobert, Pépin le Bref, Hugues Capet, Saint Louis, François Ier, Henri IV, Louis XIV, tous les rois qui ont fait France y sont inhumés, dans un commun témoignage de la vocation fondatrice de la monarchie française.

Plus que tout autre, ce lieu emblématique symbolise et récapitule, dans une continuité généalogique impressionnante, une histoire de France qui se confond puissamment avec la destinée de ses souverains, dont  beaucoup ont marqué à jamais notre imaginaire national.

Dans un heureux reportage paru dans son édition du 7 mai 2010, sous le titre alarmiste « La seconde mort des Rois de France », le Figaro Magazine nous fait découvrir l’état de délabrement avancé de ce prodigieux lieu de mémoire, laissé aujourd’hui à l’abandon dans la parfaite indifférence des pouvoirs publics.

Sous l’effet des travaux de construction du RER B, qui ont profondément modifié le cours de rivières souterraines, le sanctuaire royal est miné par de redoutables infiltrations dont l’action irrésistible se conjugue aux désordres dramatiques nés autant de la dissémination sournoise des sels de salpêtre que de la pollution moderne.

Les conséquences en sont épouvantables.

La solidité des caveaux est gravement fragilisée et, atteints par une inexorable humidité, des cercueils, brisés, gisent éventrés, laissant sans protection leurs précieuses reliques…..

Signe de l’incurie patente du Ministère de la Culture, chargé de la conservation des lieux, aucun plan de sauvetage n’a été programmé pour préserver un site qui, par ailleurs, ne bénéfice plus, depuis vingt ans, des crédits budgétaires qui lui permettraient de financer la reprise d’un chantier de fouilles archéologiques, pourtant jugées prometteuses par tous les historiens.

Conséquence logique de ces innombrables inerties, opposées dans la plus grande opacité : le projet d’inscrire la basilique de Saint-Denis et sa nécropole royale au patrimoine mondial de l’UNESCO demeure plus que jamais en panne.

Que penser de tout ce gâchis ?

Tandis que nos amis russes redécouvrent lucidement la splendeur de l’histoire tsariste de leur pays, en mettant au cœur de leurs préoccupations contemporaines la protection d’un patrimoine historique monumental inséparable de sa dimension religieuse et que, outre-Rhin, nos voisins s’apprêtent à reconstruire à Berlin le Palais des Hohenzollern, en ne se dissimulant plus le rôle décisif de la dynastie impériale dans la construction de la nation allemande, la France tourne  manifestement le dos à une période insigne de son histoire, celle que l’on désigne communément sous le vocable d’Ancien Régime.

En vérité, ce n’est pas tant la France que ses élites qui, malmenant à ce point son identité millénaire, entendent abolir, dans une rage amnésique, un passé jugé encombrant, au nom d’une vision idéologique de l’histoire.

Comment en l’espèce comprendre autrement la carence à agir dont, en effet, la rue de Valois fait preuve avec autant de constance, sinon par la volonté opiniâtre, qui anime inlassablement nos innombrables oligarchies, de détourner les Français d’une composante aussi essentielle de leur passé ?

Sur cette question, disons le tout net, une fois de plus : la France n’est pas née sous X en 1789 !!

Les Français se doivent de le rappeler résolument, encore et toujours, et affirmer partout, loin de toute conception hémiplégique de leur mémoire, que l’Histoire de France ne saurait débuter aux prémices de la Révolution française.

Défendons le caractère indivisible de notre histoire, en désavouant dans ce registre toute manipulation intellectuelle, et manifestons notre indéfectible attachement au souvenir de la monarchie française.

Dans l’effort incessant des peuples à préserver et à transmettre l’intégrité de leurs identités séculaires, il est des querelles à affronter qui honorent un peuple et qui attestent, en son sein, d’une vitalité en rien défaillante.

Le sauvetage de la nécropole des Rois de France est de ces combats valeureux.

Au rendez-vous permanent de leur histoire, il appartient aux Français de rappeler fermement à leurs devoirs les pouvoirs publics autant que l’ensemble des élus de la Nation, en les invitant à agir pareillement, sans plus tarder, afin de sauver définitivement cet extraordinaire berceau de la mémoire de la France.

L’auteur de ces lignes souhaite que cet appel solennel, qui a valeur de pétition, soit entendu, diffusé et soutenu auprès des Français, le plus largement possible.

Karim Ouchikh
9 mai 2010

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dimanche, 11 mars 2018 09:00

Le SIEL face au totalitarisme islamique

Le SIEL face au totalitarisme islamique

Le djihad et ses revenants est-il le seul danger que l’islam fait courir à notre pays ? N’y a-t-il pas avant tout un conflit identitaire, qui se déroule sans kalachnikovs ? Comment caractériseriez-vous ce conflit ?

La France est en proie à une crise identitaire et l’islamisation de notre territoire est l’un de ses symptômes les plus visibles. Le totalitarisme islamique prospère dans notre pays d’abord en raison du vide moral, spirituel et culturel qui caractérise la société française depuis près de cinquante ans. Incapable d’opposer un modèle de société attractif, fédérateur et protecteur à l’idéologie matérialiste, hédoniste et narcissique qui brise actuellement les corps intermédiaires, les solidarités familiales et les repères qui structurent depuis toujours notre inconscient collectif, notre pays se regarde, impuissant, comme un no man’s land culturel dans lequel s’épanouissent les communautarismes de tout poil. A l’opposé, le Japon, la Corée ou Israël me paraissent bien mieux armés culturellement pour déjouer le rouleau compresseur identitaire de la mondialisation en raison précisément de la capacité de ces pays de conjuguer harmonieusement en leur sein les vertus de la tradition et les atouts de la modernité. Je plaide depuis des années pour un réarmement moral, spirituel et culturel pour affronter en France les défis de ce temps.


Quels sont les modes d’actions des lobbies radicalisés en Europe ?

En Europe, les activistes du totalitarisme islamique se recrutent au sein d’une communauté musulmane qui fait fi des frontières de notre continent, tant sont puissants les liens de sociabilité religieuse qui unissent les fidèles de cette religion. Dans ce ‘’liquide amniotique’’ , l’individu est pris, du berceau jusqu’au linceul, dans un entrelacs de rites, de contraintes et d’interdits qui favorisent mécaniquement le repli communautaire dans les zones à forte présence musulmane et qui provoquent trop souvent, chez les êtres les plus fragiles, une radicalisation des comportements religieux ; le sentiment de frustration économique et social, l’identification à des causes étrangères à notre pays, tel les conflits géopolitiques au Moyen-Orient, poussent certains de ces individus à sauter le pas, soit en s’orientant vers un prosélytisme actif soit en basculant  dans la clandestinité terroriste.


François Hollande, en son temps, avait parlé du risque de « partition » de la France… Pensez-vous que ce mot est trop fort ?

Non, ce mot reflète un phénomène de société aisément perceptible. Dans des territoires de plus en plus étendus de notre pays, il se réalise dans l’esprit de beaucoup de Français ou d’étrangers de confession musulmane une sécession intérieure, intime et profonde, d’avec le modèle multiséculaire de la civilisation française. Du coup, lorsque ce phénomène se produit chez un nombre important de ces individus, fortement rassemblés dans un espace géographique donné, la partition de la France de ce lieu devient alors inévitable. Les ‘‘territoires perdus de la République’’, expression forgée pour désigner les quartiers de nos banlieues qui échappent à l’autorité de l’Etat, prend alors ici tout son sens.


Vous qui êtes un politique, croyez-vous que le processus politique décrit par Houellebecq dans Soumission (l’élection à la Présidence de la République d’un président musulman) représente une invention totale de l’écrivain ou bien ce roman offre-t-il une hypothèse en elle-même plausible à l’avenir ?

Je tiens ce roman de Houellebecq comme une œuvre prophétique du bouleversement des grands équilibres ethnico- culturels qui travaillent en profondeur notre société depuis vingt ans, de la même façon que ‘’Le camp des Saints’’ fut annonciateur, au début des années 70, du chaos migratoire qui s’est abattu sur le continent européen ces dernières années.

Les données démographiques attestent du poids croissant de la communauté musulmane en France, une communauté qui présente une certaine homogénéité dans l’automaticité de ses votes en faveur, pour l’heure, de candidats, de gauche ou de droite, capables de leur proposer une politique clientéliste. Aux prochaines élections municipales, je fais le pari que de nombreuses listes à caractère communautaire apparaitront un peu partout en France et de nombreuses villes porteront à leur tête des maires de confession musulmane. Du reste, voyons ailleurs ce qui se passe déjà en ce sens, à Anvers ou à Londres... Si le phénomène migratoire n’est pas enrayé, et surtout renversé grâce à une politique de remigration, je crains fort l’élection un jour à l’Elysée, dans une vingtaine d’années environ, d’un chef d’Etat musulman, ce qui serait ravageur culturellement dans un pays que je considère toujours être la fille aînée de l’Eglise.


Peut-on organiser un islam sunnite qui par lui-même ne comporte aucune hiérarchie ?

Je crois surtout en l’urgence absolue pour les pouvoirs publics de reprendre en main l’exercice du culte musulman. Je suis la seule personnalité politique à réclamer depuis des années la mise sous tutelle de cette religion, - qui n’est pas seulement un rapport transcendantal à Dieu, mais aussi un mode de civilisation radicalement étranger à nos modes de vie européens -, en raison des troubles à l’ordre public manifestes que son exercice ne cesse de provoquer sur notre territoire. Tant que cette confession n’aura pas trouvé ses marques en France, aucune mosquée ne pourra être édifiée : ce moratoire immédiat s’accompagnera de mesures volontairement intrusives (nomination des imans par les préfets, prêches en langue française, systématiquement contrôlés, interdiction de tout financements étrangers…). L’idée est de s’acheminer rapidement vers la conclusion d’un Concordat à l’échelle du pays, ce qui supposera d’ailleurs de modifier la loi de 1905 et d’inclure également dans la Constitution la mention des racines chrétiennes de la France pour revitaliser culturellement un modèle de société aujourd’hui aseptisé et à bout de souffle. Ce mode de gestion autoritaire de l’islam en France, que j’assume pleinement, supposera la constitution d’une autorité représentative de ce culte dont le président sera désigné par des représentants choisis dans chaque département par voie préfectorale. Ces personnalités devront être ‘’triées sur le volet’’ pour s’assurer de la fiabilité de leur ‘’magistère’’ et de leur ‘apostolat’’ d’avec l’ordre public. Cette autorité sera la seule interlocutrice légitime des pouvoirs publics. La mainlevée de cette mise sous administration de l’Etat sera ordonnée au vu des progrès accomplis par cette religion sur notre sol. En d’autres termes, cela pourra prendre bien des années…


Vous qui êtes né, avant votre conversion au catholicisme romain, d’une famille musulmane, pensez-vous qu’il soit possible de réformer l’islam ? Selon quels critères un aggiornamento de l’islam serait-il possible ?

Les textes sacrés de l’islam, constitutifs en Islam d’une ‘’parole incréée’’ de Dieu, me paraissent difficilement réformables ; s’il n’appartient pas l’Etat de se mêler à des querelles de nature théologiques, il est cependant souhaitable de favoriser l’éclosion de débats au sein de la communauté musulmane pour favoriser l’émergence d’un possible ‘’islam des Lumières’’. Autrement dit, l’Etat a moins le devoir de réformer l’islam en France que l’obligation de garantir que son exercice, notamment dans ses pratiques extérieures, soit parfaitement compatible avec notre modèle de société. Avec toutefois en ligne de mire la volonté qui m’anime de réduire toujours plus le poids démographique et culturel d’une communauté qui exacerbe l’insécurité identitaire qui traverse notre société.


La « posture réformiste » est assez bien porté dans l’islam qui est en France. Comment être sûr que les musulmans dans notre pays sont décidés à aller au-delà des postures ?

En ce domaine comme en beaucoup d’autres, je suis partisan d’un Etat fort qui fasse respecter son autorité, sans état d’âme. Nous devons donc nous fixer un cap clair, celui que j’ai indiqué plus haut, et se doter d’un calendrier ferme pour avancer rapidement sur tous ces sujets, en sorte qu’il m’importera peu d’avoir affaire demain à des interlocuteurs musulmans sincères. Je préfère évidemment qu’ils le soient ; s’ils devaient ne malheureusement pas l’être, la loi devra s’appliquer alors sans désemparer. Dura lex, sed lex…


Quelles mesures d’urgence préconisez-vous ?

Interdiction de construction de toutes nouvelles mosquées et d’ouverture d’écoles coraniques  ; fermeture immédiate des mosquées radicales ; nomination préfectorale des imans et pour ceux qui ne seraient pas dans le ‘’droit fil’’, interdiction définitive d’exercer et expulsion pour les imams étrangers ; contrôle préfectorale préalable des prêches, qui devront être lus en français ; interdiction de tout financement étranger ; prohibition des tenues vestimentaires étrangères aux standards européens ; application du Code pénal (apologie du djihad, refus des conversions religieuses, atteintes aux droits des femmes, maltraitance animale…)… En un mot comme en cent, la mobilisation de notre société doit être totale face à l’expansion du totalitarisme islamique.

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Il ne pourra également être tenu responsable des dommages indirects (tels par exemple qu’une perte de marché ou perte d’une chance) consécutifs à l’utilisation du site. Des espaces interactifs (possibilité de poser des questions dans l’espace contact) sont à la disposition des utilisateurs. L’éditeur se réserve le droit de supprimer, sans mise en demeure préalable, tout contenu déposé dans cet espace qui contreviendrait à la législation applicable en France, en particulier aux dispositions relatives à la protection des données. Le cas échéant, le SIEL - Souveraineté, Identité Et Libertés se réserve également la possibilité de mettre en cause la responsabilité civile et/ou pénale de l’utilisateur, notamment en cas de message à caractère raciste, injurieux, diffamant, ou pornographique, quel que soit le support utilisé (texte, photographie …).

7. Gestion des données personnelles

L’Utilisateur est informé des réglementations concernant la communication marketing, la loi du 21 Juin 2014 pour la confiance dans l’Économie Numérique, la Loi Informatique et Liberté du 06 Août 2004 ainsi que du Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD : n° 2016-679).

Conformément à la loi “Informatique et Libertés”, le traitement des informations nominatives relatives aux internautes a fait l’objet d’une déclaration auprès de la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés (CNIL) sous le n°2010753v0.

7.1 Responsables de la collecte des données personnelles

Pour les Données Personnelles collectées dans le cadre de la création du compte personnel de l’Utilisateur et de sa navigation sur le Site, le responsable du traitement des Données Personnelles est le Délégué à la protection des données mentionné au premier chapitre des présentes.

En tant que responsable du traitement des données qu’il collecte, il s’engage à respecter le cadre des dispositions légales en vigueur. Il lui appartient notamment d’établir les finalités de ses traitements de données, de fournir à ses utilisateurs, à partir de la collecte de leurs consentements, une information complète sur le traitement de leurs données personnelles et de maintenir un registre des traitements conforme à la réalité. Chaque fois qu’il traite des Données Personnelles, il prend toutes les mesures raisonnables pour s’assurer de l’exactitude et de la pertinence des Données Personnelles au regard des finalités pour lesquelles il les traite.

7.2 Finalité des données collectées

Le responsable du traitement des Données Personnelles est susceptible de traiter tout ou partie des données :

  • pour permettre la navigation sur le Site et la gestion et la traçabilité des prestations et services fournis à l’utilisateur : données de connexion et d’utilisation du Site, signature de pétition, requête via le formulaire de contact, etc.
  • pour prévenir et lutter contre la fraude informatique (spamming, hacking…) : matériel informatique utilisé pour la navigation, l’adresse IP, le mot de passe (hashé)
  • pour améliorer la navigation sur le Site : données de connexion et d’utilisation
  • pour mener des enquêtes de satisfaction facultatives sur le site : adresse email
  • pour mener des campagnes de communication (sms, mail) : nom, numéro de téléphone, adresse email

Le SIEL - Souveraineté, Identité Et Libertés ne commercialise pas vos données personnelles qui sont donc uniquement utilisées par nécessité ou à des fins statistiques et d’analyses.

7.3 Droit d’accès, de rectification et d’opposition

Conformément à la réglementation européenne en vigueur, les Utilisateurs du site disposent des droits suivants :

  • droit d’accès (article 15 RGPD) et de rectification (article 16 RGPD), de mise à jour, de complétude des données des Utilisateurs droit de verrouillage ou d’effacement des données des Utilisateurs à caractère personnel (article 17 du RGPD), lorsqu’elles sont inexactes, incomplètes, équivoques, périmées, ou dont la collecte, l’utilisation, la communication ou la conservation est interdite
  • droit de retirer à tout moment un consentement (article 13-2c RGPD)
  • droit à la limitation du traitement des données des Utilisateurs (article 18 RGPD)
  • droit d’opposition au traitement des données des Utilisateurs (article 21 RGPD)
  • droit à la portabilité des données que les Utilisateurs auront fournies, lorsque ces données font l’objet de traitements automatisés fondés sur leur consentement ou sur un contrat (article 20 RGPD)
  • droit de définir le sort des données des Utilisateurs après leur mort et de choisir à qui le responsable du traitement des Données Personnelles devra communiquer (ou non) ses données à un tiers qu’il aura préalablement désigné

Dès que le responsable du traitement des Données Personnelles a connaissance du décès d’un Utilisateur et à défaut d’instructions de sa part, il s’engage à détruire ses données, sauf si leur conservation s’avère nécessaire à des fins probatoires ou pour répondre à une obligation légale.

Si l’Utilisateur souhaite savoir comment le responsable du traitement des Données Personnelles utilise ses Données Personnelles, demande à les rectifier ou s’oppose à leur traitement, l’Utilisateur peut le contacter par écrit à l’adresse suivante :

SIEL - SOUVERAINETÉ, IDENTITÉ ET LIBERTÉS
Délégué à la protection des données
3, rue de l’arrivée, Bureau 407, 75015 Paris

Dans ce cas, l’Utilisateur doit indiquer les Données Personnelles qu’il souhaiterait que le Délégué à la protection des données corrige, mette à jour ou supprime, en s’identifiant précisément avec une copie d’une pièce d’identité (carte d’identité ou passeport).

Les demandes de suppression de Données Personnelles seront soumises aux obligations qui sont imposées au SIEL - Souveraineté, Identité Et Libertés par la loi, notamment en matière de conservation ou d’archivage des documents. Enfin, les Utilisateurs du site peuvent déposer une réclamation auprès des autorités de contrôle, et notamment de la CNIL (http://www.cnil.fr/fr/plaintes).

7.4 Non-communication des données personnelles

Le SIEL - Souveraineté, Identité Et Libertés s’interdit de traiter, héberger ou transférer les Informations collectées sur ses Utilisateurs vers un pays situé en dehors de l’Union européenne ou reconnu comme « non adéquat » par la Commission européenne sans en informer préalablement l’Utilisateur. Pour autant, il reste libre du choix de ses sous-traitants techniques et commerciaux à la condition qu’il présentent les garanties suffisantes au regard des exigences du Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD : n° 2016-679).

Le SIEL - Souveraineté, Identité Et Libertés s’engage à prendre toutes les précautions nécessaires afin de préserver la sécurité des Informations et notamment qu’elles ne soient pas communiquées à des personnes non autorisées. Cependant, si un incident impactant l’intégrité ou la confidentialité des Informations de l’Utilisateur est portée à sa connaissance, celui-ci devra dans les meilleurs délais informer l’Utilisateur et lui communiquer les mesures de corrections prises. Par ailleurs le site ne collecte aucune « donnée sensible ».

Les Données Personnelles de l’Utilisateur peuvent être traitées par des sous-traitants (prestataires de services), exclusivement afin de réaliser les finalités de la présente politique.

Dans la limite de leurs attributions respectives et pour les finalités rappelées ci-dessus, les principales personnes susceptibles d’avoir accès aux données des Utilisateurs du site sont principalement les agents de notre service éditorial.

8. Notification d’incident

Quels que soient les efforts fournis, aucune méthode de transmission sur Internet et aucune méthode de stockage électronique n’est complètement sûre. Nous ne pouvons en conséquence pas garantir une sécurité absolue. Si nous prenions connaissance d’une brèche de la sécurité, nous avertirions les utilisateurs concernés afin qu’ils puissent prendre les mesures appropriées. Nos procédures de notification d’incident tiennent compte de nos obligations légales, qu’elles se situent au niveau national ou européen. Nous nous engageons à informer pleinement nos utilisateurs de toutes les questions relevant de la sécurité de leur compte et à leur fournir toutes les informations nécessaires pour les aider à respecter leurs propres obligations réglementaires en matière de reporting.

Aucune information personnelle de l’utilisateur du site n’est publiée à l’insu de l’utilisateur, échangée, transférée, cédée ou vendue sur un support quelconque à des tiers.

Sécurité

Pour assurer la sécurité et la confidentialité des Données Personnelles et des Données Personnelles de Santé, le Site utilise des réseaux protégés par des dispositifs standards tels que par pare-feu, la pseudonymisation, encryption et identification par mot de passe.

Lors du traitement des Données Personnelles, Le SIEL - Souveraineté, Identité Et Libertés prend toutes les mesures raisonnables visant à les protéger contre toute perte, utilisation détournée, accès non autorisé, divulgation, altération ou destruction.

9. Liens hypertextes « cookies » et balises (“tags”) internet

Le site contient un certain nombre de liens hypertextes vers d’autres sites, mis en place avec l’autorisation du site. Cependant, l’Éditeur n’a pas la possibilité de vérifier le contenu des sites ainsi visités, et n’assumera en conséquence aucune responsabilité de ce fait.

Sauf si vous décidez de désactiver les cookies, vous acceptez que le site puisse les utiliser. Vous pouvez à tout moment désactiver ces cookies et ce gratuitement à partir des possibilités de désactivation qui vous sont offertes et rappelées ci-après, sachant que cela peut réduire ou empêcher l’accessibilité à tout ou partie des Services proposés par le site.

9.1. « COOKIES »

Un « cookie » est un petit fichier d’information envoyé sur le navigateur de l’Utilisateur et enregistré au sein du terminal de l’Utilisateur (ex : ordinateur, smartphone), (ci-après « Cookies »). Ce fichier comprend des informations telles que le nom de domaine de l’Utilisateur, le fournisseur d’accès Internet de l’Utilisateur, le système d’exploitation de l’Utilisateur, ainsi que la date et l’heure d’accès. Les Cookies ne risquent en aucun cas d’endommager le terminal de l’Utilisateur.

L’Editeur est susceptible de traiter les informations de l’Utilisateur concernant sa visite du Site, telles que les pages consultées, les recherches effectuées. Ces informations permettent à l’éditeur d’améliorer le contenu du Site, de la navigation de l’Utilisateur.

Les Cookies facilitant la navigation et/ou la fourniture des services proposés par le Site, l’Utilisateur peut configurer son navigateur pour qu’il lui permette de décider s’il souhaite ou non les accepter de manière à ce que des Cookies soient enregistrés dans le terminal ou, au contraire, qu’ils soient rejetés, soit systématiquement, soit selon leur émetteur. L’Utilisateur peut également configurer son logiciel de navigation de manière à ce que l’acceptation ou le refus des Cookies lui soient proposés ponctuellement, avant qu’un Cookie soit susceptible d’être enregistré dans son terminal. Le Site informe l’Utilisateur que, dans ce cas, il se peut que les fonctionnalités de son logiciel de navigation ne soient pas toutes disponibles.

Si l’Utilisateur refuse l’enregistrement de Cookies dans son terminal ou son navigateur, ou si l’Utilisateur supprime ceux qui y sont enregistrés, l’Utilisateur est informé que sa navigation et son expérience sur le Site peuvent être limitées. Cela pourrait également être le cas lorsque l’Éditeur ne peut pas reconnaître, à des fins de compatibilité technique, le type de navigateur utilisé par le terminal, les paramètres de langue et d’affichage ou le pays depuis lequel le terminal semble connecté à Internet.

Le cas échéant, Le SIEL - Souveraineté, Identité Et Libertés décline toute responsabilité pour les conséquences liées au fonctionnement dégradé du Site et des services éventuellement proposés par le Site, résultant (i) du refus de Cookies par l’Utilisateur (ii) de l’impossibilité pour le Site d’enregistrer ou de consulter les Cookies nécessaires à leur fonctionnement du fait du choix de l’Utilisateur. Pour la gestion des Cookies et des choix de l’Utilisateur, la configuration de chaque navigateur est différente. Elle est décrite dans le menu d’aide du navigateur, qui permettra de savoir de quelle manière l’Utilisateur peut modifier ses souhaits en matière de Cookies.

À tout moment, l’Utilisateur peut faire le choix d’exprimer et de modifier ses souhaits en matière de Cookies. L’Éditeur pourra en outre faire appel aux services de prestataires externes pour l’aider à recueillir et traiter les informations décrites dans cette section.

Enfin, en cliquant sur les icônes dédiées aux réseaux sociaux Twitter, Facebook, Linkedin et Google Plus figurant sur le Site ou dans son application mobile et si l’Utilisateur a accepté le dépôt de cookies en poursuivant sa navigation sur le Site Internet ou l’application mobile, Twitter, Facebook, Linkedin et Google Plus peuvent également déposer des cookies sur vos terminaux (ordinateur, tablette, téléphone portable).

Ces types de cookies ne sont déposés sur vos terminaux qu’à condition que vous y consentiez, en continuant votre navigation sur le Site Internet ou l’application mobile. À tout moment, l’Utilisateur peut néanmoins revenir sur son consentement à ce que le Site dépose ce type de cookies.

9.2. BALISES (“TAGS”) INTERNET

Le Site peut employer occasionnellement des balises Internet (également appelées « tags », ou balises d’action, GIF à un pixel, GIF transparents, GIF invisibles et GIF un à un) et les déployer par l’intermédiaire d’un partenaire spécialiste d’analyses Web susceptible de se trouver (et donc de stocker les informations correspondantes, y compris l’adresse IP de l’Utilisateur) dans un pays étranger.

Ces balises sont placées à la fois dans les publicités en ligne permettant aux internautes d’accéder au Site, et sur les différentes pages de celui-ci.

Cette technologie permet à l’Éditeur d’évaluer les réponses des visiteurs face au Site et l’efficacité de ses actions (par exemple, le nombre de fois où une page est ouverte et les informations consultées), ainsi que l’utilisation de ce Site par l’Utilisateur.

Le prestataire externe pourra éventuellement recueillir des informations sur les visiteurs du Site et d’autres sites Internet grâce à ces balises, constituer des rapports sur l’activité du Site à l’attention de l’Éditeur, et fournir d’autres services relatifs à l’utilisation de celui-ci et d’Internet.

10. Droit applicable et attribution de juridiction.

Tout litige en relation avec l’utilisation du site est soumis au droit français. En dehors des cas où la loi ne le permet pas, il est fait attribution exclusive de juridiction aux tribunaux compétents de Paris.

Mentions légales relatives aux dons

Conformément à la loi n°88-227 du 11 mars 1988, le mandataire financier, Mme Martine Pincemin, déclaré le 2 février 2016 à la Préfecture de Paris, est seul habilité à recueillir des dons en faveur du SIEL - Souveraineté, Identité Et Libertés.

Chaque don fera l’objet d’un reçu fiscal qui vous sera transmis par le mandataire financier pour obtenir une réduction d’impôt sur le revenu égale à 66 % du montant de votre soutien financier, dans la limite de 20 % du revenu imposable et de 15 000 € (article 200 – 1 du Code Général des Impôts). Ce reçu ne comportera pas d’identité du bénéficiaire si le don est inférieur ou égal à 3 000 €. Les dons des personnes morales (entreprises, associations non politiques) sont interdits. Une même personne physique ne peut donner annuellement plus de 7 500 € à un ou plusieurs partis politiques.

Article 11-4 de la loi n° 88-227 de la loi du 11 mars 1988

Les dons consentis et les cotisations versées en qualité d’adhérent d’un ou de plusieurs partis politiques par une personne physique dûment identifiée à une ou plusieurs associations agréées en qualité d’association de financement ou à un ou plusieurs mandataires financiers d’un ou de plusieurs partis politiques ne peuvent annuellement excéder 7 500 euros.  Les personnes morales à l’exception des partis ou groupements politiques ne peuvent contribuer au financement des partis ou groupements politiques, ni en consentant des dons, sous quelque forme que ce soit, à leurs associations de financement ou à leurs mandataires financiers, ni en leur fournissant des biens, services ou autres avantages directs ou indirects à des prix inférieurs à ceux qui sont habituellement pratiqués.

Article 11-5 de la loi n° 88-227 de la loi du 11 mars 1988

Ceux qui ont versé des dons à un ou plusieurs partis politiques en violation de l’article 11-4 sont punis d’une amende de 3 750 euros et d’un an d’emprisonnement. Les mêmes peines sont applicables au bénéficiaire de dons consentis :

  1. Par une même personne physique à un seul parti politique en violation du premier alinéa du même article 11-4 ;
  2. Par une personne morale en violation du troisième alinéa dudit article 11-4 ;
  3. Par un État étranger ou par une personne morale de droit étranger en violation du sixième alinéa du même article 11-4.